lundi 30 mars 2009

L'Inquisition, ancêtre des totalitarismes



Yves-Charles Zarka

""Aucune continuité directe ne relie la "pureté du sang" ibérique et l'antisémitisme racial de l'Allemagne nazie". C'est que l'administration du meurtre de masse des nazis, la logique de l'extermination donc, n'avait pas besoin d'un tribunal, fût-il inquisitorial."

Extraits de la critique de La Logique des bûchers de Nathan Wachtel, Éditions du Seuil, par Yves-Charles Zarka, repris du site du Figaro.
Selon Nathan Wachtel, professeur au Collège de France, le système de terreur froide mis en place par l'Inquisition espagnole anticipe les horreursdu XXe siècle.
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"[...] La tâche de l'Inquisition ne concernait donc pas les Juifs, mais les conversos, les convertis soupçonnés de pratiquer en secret la religion qu'ils avaient pourtant explicitement abjurée. Ceux qui croyaient sauver leur vie en devenant catholiques vont devenir l'objet d'une persécution impitoyable puisqu'elle aboutissait souvent au bûcher, mais aussi implacable parce qu'elle reposait sur un système administratif incroyablement précis, détaillé et, en outre, fiable : "L'Inquisition ne se trompe jamais", disait I. S. Révah. [...]
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Ce système de terreur froide qui précède ou accompagne la terreur sanglante, ce système bureaucratique précis et rigoureux d'établissement de dossiers, de classification et d'archivage qui faisait qu'un individu pouvait être arrêté au Brésil pour une dénonciation faite au Portugal, est ce qui, selon Nathan Wachtel, fait la modernité de l'Inquisition. Cette thèse est, il faut le souligner, d'une grande importance. Contre l'extravagante idée, pourtant fort répandue encore aujourd'hui, selon laquelle le totalitarisme serait un produit de la raison et des Lumières, Nathan Wachtel montre que le système qui, par son fonctionnement et ses mythes (parmi lesquels celui de la race et de l'impureté du sang juif), est le plus proche des pratiques totalitaires modernes, c'est l'Inquisition.
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Mais, là encore, il y a bien sûr des différences majeures soulignées d'ailleurs dans le livre : "Aucune continuité directe ne relie la "pureté du sang" ibérique et l'antisémitisme racial de l'Allemagne nazie" (p. 23). C'est que l'administration du meurtre de masse des nazis, la logique de l'extermination donc, n'avait pas besoin d'un tribunal, fût-il inquisitorial."


Illustrations: Lisbonne: mémorial aux victimes du massacre de 1506

http://philosemitismeblog.blogspot.com/

samedi 28 mars 2009

Yom Ha'Shoah à Genève : Commémoration de Yom Hashoah


A l’occasion de la Journée du Souvenir de la Shoah (Holocauste), les communautés juives de Genève organisent une importante cérémonie commémorative.

Cette cérémonie, à laquelle sont associés des survivants et des représentants d’autres groupes persécutés par les nazis, réunit des délégations de diverses communautés religieuses et des autorités politiques.

Cette cérémonie a lieu le soir du 20 avril, selon la date du calendrier hébraïque, et comme cela se passe depuis 1959 dans les communautés juives du monde entier.

Cette cérémonie se déroule cette année sur la Place des Nations, lieu symbolique puisque s’ouvre le même jour, dans le cadre des Nations Unies à Genève, une conférence majeure consacrée à la lutte contre le racisme (Conférence d’examen de Durban). C’est ainsi l’occasion de rappeler de manière forte que, des formes de racisme, comme l’antisémitisme, peuvent conduire aux pires crimes contre l’humanité.

Notre commémoration se fait sous le double signe de la dimension universelle de la Shoah et du refus de la relativisation.

Dans cet esprit, notre cérémonie rend hommage à deux personnalités qui ont édifié sur les cendres de la Shoah des textes fondamentaux dans la lutte pour l’amélioration de l’humanité et le refus de la banalisation des crimes. Il s’agit de René Cassin, principal rédacteur de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies et de Raphaël Lemkin, principal rédacteur de la Convention contre le génocide des Nations Unies.

Inspiré par l’esprit de Genève, c’est d’une voix unie et forte que nous voulons envoyer le message universel appris de la Shoah : « Plus jamais ça ».


http://www.yomhashoah09.org/

vendredi 27 mars 2009

La charge de Jacques Chirac contre les négationnistes



Jacques Chirac a participé, vendredi à l'Unesco avec Simone Veil, au lancement du projet Aladin, initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Crédit photo : François Bouchon / Le Figaro.


L'ancien président de la République prône l'enseignement de la Shoah dans les pays arabes.

«Le drame de la Shoah interdit l'oubli. Il impose la pudeur. Il fait exploser la colère au cœur de chaque homme de bonne volonté, lorsque la Shoah est contestée.» Silencieux depuis plusieurs mois, Jacques Chirac a choisi de s'exprimer sur un thème qui avait déjà marqué sa présidence. Vendredi, à l'Unesco, l'ancien chef de l'État a apporté un soutien appuyé au projet Aladin initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Un projet destiné à lutter contre le négationnisme, en particulier dans les pays arabes.

Jacques Chirac a insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas de vouloir « aire porter aux pays musulmans une culpabilité qui n'est pas la leur». Il a cependant souligné l'importance de «faire connaître la Shoah, pour la faire sortir du silence que l'on a fabriqué autour d'elle, dans beaucoup de pays». Pour lui, les raisons de ce silence sont simples : «Évoquer la Shoah risquait de susciter dans ces pays un sentiment de sympathie pour les Juifs et l'existence d'Israël. Alors, a-t-il dit, on l'a cachée.»

L'ancien président s'est inquiété du fait que «les conflits incessants du Proche-Orient servent aujourd'hui de prétexte à une nouvelle haine d'Israël. Elle est en train de devenir une nouvelle haine des Juifs ; cette haine se répand», a-t-il observé. Elle peut être le débutd'un nouveau cauchemar. Chirac insiste : «Il n'y aura pas de paix au Proche-Orient tant qu'il n'y aura pas de reconnaissance et acceptation de l'État d'Israël.» Et ajoute : «Mais il n'y aura pas reconnaissance mutuelle réelle sans assentiment des peuples (…) sans une compréhension plus intime.»

Celui qui avait reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs de France, dans son discours du Vél'd'Hiv, en juillet 1995, estime que ce projet Aladin s'inscrit dans le cadre du combat qu'il mène à la tête de sa propre Fondation pour le dialogue entre les cultures. Ce projet, sur son site Internet, propose un contenu pédagogique en plusieurs langues, dont le turc, l'arabe ou le farsi, sur l'histoire de la Shoah et celle du judaïsme. Il est soutenu par plus de 200 personnalités arabo-musulmanes.

« Les falsifications de l'histoire »

Mais Jacques Chirac ne s'est pas seulement adressé à cette partie du monde, soulignant, dans son intervention, que «nul pays, nulle culture ne sont immunisées contre la tentation du génocide». Il a par ailleurs souligné, une nouvelle fois, que «nous ne devons jamais accepter comme démocratiques les partis qui propagent la haine». «L'accord trouvé entre libéraux, démocrates chrétiens, socialistes et communistes dans l'après-guerre pour rejeter les partis de la haine doit être considéré comme un acquis définitif de la démocratie européenne», a-t-il ajouté. Une allusion claire aux propos tenus par Jean-Marie Le Pen, mercredi, dans l'hémicycle du Parlement de Strasbourg. Le président du Front national avait réaffirmé qu'il considérait les chambres à gaz comme «un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale».

Depuis son départ de l'Élysée, Jacques Chirac, en tête des personnalités politiques dans le baromètre Ifop/Paris Match, s'en tient à des interventions peu nombreuses et exclusivement consacrées aux grands enjeux mondiaux, comme son discours sur l'accès à l'eau au Proche-Orient.

De son côté, dans un message lu par la garde des Sceaux et maire du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, le président Sarkozy n'a pas évoqué Jean-Marie Le Pen mais fait allusion aux propos négationnistes tenus par l'évêque catholique intégriste Richard Williamson. Des déclarations qu'il a jugées «indignes, d'autant plus honteuses et condamnables, qu'elles émanent d'un homme de foi». Des déclarations qui rappellent aussi «l'urgence d'agir contre les falsifications de l'histoire».

«Toutes» les falsifications , a souligné Abdoulaye Wade, président du Sénégal et président de l'Organisation de la conférence islamique, pour qui le négationnisme ne doit pas occulter d'autres formes «d'oubli du passé ou de dénaturation des faits», relatifs, en particulier, à la colonisation.

Sophie de Ravinel
http://www.lefigaro.fr/politique/

samedi 14 mars 2009

Celui qui n'a pas voulu jouer le rôle d'Esther en 1944...


Photo: JPost

Par RAFAEL MEDOFF

Il y a soixante-cinq ans tout juste, les Juifs américains se rassemblaient dans les synagogues pour fêter Pourim. Cette fête juive rappelle comment une femme a utilisé de son influence auprès du roi de Perse pour sauver la communauté juive du génocide programmé par le vil Aman. Mais en ce mois de mars 1944, ce que ces Juifs ne savaient pas, c'est qu'à l'instant même où ils lisaient leurs méguilas (rouleaux d'Esther) et agitaient leurs crécelles, un conseiller juif du président Roosevelt usait à son tour de son influence pour porter secours aux Juifs européens persécutés par les nazis.

Au début de l'année 1944, des millions de Juifs avaient déjà été assassinés par le Aman contemporain, mais beaucoup d'autres ne demandaient qu'à être sauvés.

Si l'administration de Franklin Delano Roosevelt (FDR) a longtemps refusé d'agir, en janvier 1944, sous de fortes pressions de la part des membres du groupe sioniste révisionniste Bergson, du Congrès et du Département du Trésor, le président américain mettra tardivement en place un Conseil des réfugiés de guerre, dont l'objectif officiel était de porter secours aux victimes de l'horreur nazie.

Sous la direction des avocats du Trésor John Pehle et Josiah E. DuBois, Jr. - deux protestants - c'est avec une passion et une détermination hors du commun que le Conseil s'attelle à la tâche, malgré les fonds symboliques qui lui sont consacrés.

L'une des premières propositions sera de proposer à Roosevelt de faire une déclaration pour clairement stipuler que toute personne impliquée dans la persécution de Juifs sera punie et que les Juifs en péril peuvent trouver un refuge aux Etats-Unis. Pehle et DuBois jugeaient une telle déclaration nécessaire, en partie suite aux récents propos décevants des Alliés à propos des Juifs européens. En effet, les ministres américain, britannique et soviétique des Affaires étrangères avaient évoqué au cours d'un sommet à Moscou en octobre, la punition infligée aux auteurs de crimes de guerre nazis sur les populations conquises. Mais ils s'étaient contentés de mentionner les "otages français, néerlandais, belges ou norvégiens... et les citoyens polonais...", sans qu'aucune allusion ne soit faite aux premières victimes du IIIe Reich : les Juifs.

Arthur Szyk, célèbre artiste, rescapé de la Shoah, fait remarquer que la souffrance des Juifs d'Europe a été "traitée comme un sujet tabou - qui ne doit pas être abordé en société". Ainsi, mobiliser l'intérêt public sur le sort réservé aux Juifs aura été d'autant plus difficile que l'identité des victimes était soigneusement occultée. En outre, le message aux nazis était clair : le monde est indifférent à la question juive.

Une déclaration trop morbide

Après avoir consulté le secrétaire au Trésor Henry Morgenthau, Pehle et DuBois ont donc préparé une ébauche de déclaration. Mais cette dernière fera sursauter. Le secrétaire adjoint de la guerre John McCloy voudra édulcorer le texte pour le rendre "moins morbide". Les officiels du Département d'Etat s'y opposeront tout de go, au motif que les Allemands l'utiliseraient comme preuve que les Alliés ne se battaient que pour sauver les Juifs. La Maison Blanche, elle aussi, a émis des objections, comme Pehle le découvrira dans la soirée du 8 mars 1944, lors de sa rencontre avec Samuel Rosenman, plus proche conseiller juif de FDR et l'un des principaux membres du Comité juif américain.

Au bout de la rue où se situait le bureau de Rosenman du bureau, à Washington, s'érigeait la célèbre synagogue Adas Israël, où la fête de Pourim battait son plein. Les fidèles écoutaient le récit de l'antique histoire de Pourim, racontant comment la reine Esther a plaidé sa cause auprès du roi Assuérus pour faire échouer le machiavélique plan d'Aman qui voulait anéantir les Juifs.

Une reine, mais pas de nouveau roi

Rosenman avait l'opportunité de devenir l'Esther des temps modernes. Seul problème : Rosenman est un Juif profondément assimilé, qui a toujours rechigné à attirer l'attention sur les préoccupations de sa communauté. Déjà, après le pogrom de la Nuit de Cristal en 1938, il avait averti FDR que l'admission de réfugiés risquerait de "créer un problème juif aux Etats-Unis". En 1943, il avait conseillé à Roosevelt d'ignorer la "horde médiévale" de quatre cents rabbins en marche vers la Maison Blanche pour plaider la cause de leurs coreligionnaires. Rosenman avait également tenté d'étouffer la campagne qui avait mené à la constitution du Conseil des réfugiés de guerre.

En ce mois de mars 1944, avec l'affaire de la déclaration présidentielle, Rosenman avait pourtant une nouvelle chance de faire une bonne action. Mais malheureusement, il en a décidé autrement. Il avertit Pehle avoir "conseillé au président de ne pas signer la déclaration en raison de sa référence trop claire aux Juifs". Selon Rosenman, de tels propos "intensifieraient l'antisémitisme aux Etats-Unis". Pehle est à la fois surpris et déçu de la position de Rosenman.
Le jour suivant - Pourim - Pehle s'entretient avec le vice-secrétaire d'Etat Edward Stettinius, puis avec Morgenthau, secrétaire au Trésor. Il est devenu évident, dit ce dernier à Pehle, que Rosenman a préalablement monté le président contre leur projet : Roosevelt avait en effet déjà avancé que le libellé "désignait les Juifs de manière trop explicite".

Rosenman planchait déjà sur une version revisitée de la déclaration. Morgenthau redoutait de voir disparaître le second paragraphe, "très violent", dans lequel il était stipulé que les Juifs étaient assassinés "uniquement parce qu'ils étaient juifs". Des inquiétudes fondées, puisque bien évidemment, l'alinéa n'a pas survécu aux coupes de Rosenman.

Ce dernier a opéré d'autres modifications importantes. Il a rayé trois des six références aux Juifs. La promesse d'offrir aux réfugiés temporaires un abri en Amérique s'est transformée en : "Nous allons trouver des refuges pour eux", sans préciser que les Etats-Unis seraient cette terre d'accueil. Trois paragraphes ont été ajoutés au début de la déclaration, sur les mauvais traitements infligés par les Allemands aux "Polonais, Tchèques, Norvégiens, Hollandais, Danois, Français, Grecs, Russes, Chinois Philippins - et de nombreux autres" - mais nullement aux Juifs. Le sort des Juifs a été relégué au quatrième alinéa.


La version finale de la déclaration a été publiée plus tard ce mois de mars 1944. Evidemment, c'était mieux que rien, mais elle aurait pu avoir beaucoup plus d'impact. Et son destin a auguré les obstacles que le Conseil des réfugiés de guerre allait rencontrer, au sein de l'administration Roosevelt elle-même, dans ses efforts de mener à bien sa mission.

Le fait que tout cela ait eu lieu à Pourim relève, bien sûr, d'une certaine ironie. La reine Esther et Samuel Rosenman se trouvaient tous deux à des positions uniques qui leur permettaient d'inciter la plus haute autorité à agir en faveur des Juifs. La réaction héroïque d'Esther a été pérennisée par la célébration de la fête de Pourim. La question est de savoir si Rosenman aurait pu lui aussi changer le cours de l'Histoire en suivant l'exemple de l'héroïne juive.


L'auteur est directeur de l'Institut David S. Wyman d'études sur la Shoah.
Site Internet : www.wymaninstitute.org.

Lanzmann, l'éternel combattant


Crédits photo : Photos12.com-CollectionCinéma
Par Max Gallo
de l'Académie française

Dans ses Mémoires, le réalisateur du film «Shoah» évoque avec force les grands débats et conflits du XXe siècle auxquels il a été mêlé.


«Shoah, qu'est-ce que cela veut dire ?»

Claude Lanzmann, l'auteur du film, répond : «Je ne sais pas, cela veut dire Shoah.»

Le mot s'est imposé à lui, une nuit, alors qu'il vient de terminer, en 1985, ce film de neuf heures trente, qui est le monument impérissable de la mémoire de ce que les nazis ont voulu, mis en œuvre : la tentative de destruction, d'anéantissement du peuple juif.

Shoah, ce terme qui apparaît dans la Bible.

«Mais il faut traduire, personne ne comprendra», dit-on à Lanzmann. «C'est précisément ce que je veux, que personne ne comprenne», répond-il.

Voilà près d'une décennie qu'il construit ce film, déployant une créativité, une énergie, une intelligence, un courage dont nous prenons conscience en lisant ses Mémoires, Le Lièvre de Patagonie.

Mais au moment de présenter ce film, pour la première fois, il faut un titre : «Je me suis battu pour imposer Shoah, raconte-t-il, sans savoir que je procédais ainsi à un acte radical de nomination.» Shoah, le mot s'est imposé. «Il est maintenant un nom propre, le seul donc et comme tel intraduisible.»

Sur ce point, Claude Lanzmann se trompe : Shoah, ce film sont la traduction, l'essence de sa vie. Tout dans celle-ci conduit à ce moment, le cœur de son existence : son engagement absolu dans la conception, la réalisation de Shoah.

Peu importe qu'avec sa brutale franchise Lanzmann confie que l'idée de Shoah n'est pas de lui : «Je n'y songeai pas du tout.» C'est un directeur du ministère des Affaires étrangères israélien qui lui a suggéré de réaliser un film qui «soit» la «catastrophe». L'essentiel est qu'au cours d'une «nuit de feu» Lanzmann décide de vouer sa vie - il est proche de la cinquantaine - à ce projet parce qu'il serait «indigne et lâche de ne pas le saisir». Ces deux mots-là, ces deux comportements, Claude Lanzmann les a depuis son enfance refusés, rejetés, condamnés. Le récit de sa vie en porte à chaque instant le témoignage.

Il affronte la mort

Mémoires passionnants parce que Lanzmann a été mêlé à la plupart des débats et des combats de la seconde moitié du XXe siècle. Né en 1925, il a vécu, juif, sous les lois antisémites de Vichy. Il a été traqué. Il a participé les armes à la main à la Résistance. Dans le Paris des années 1950, étudiant en philosophie, il est plongé dans la vie intellectuelle, ami de Jean Cau - le secrétaire de Sartre, futur Prix Goncourt -, du philosophe Gilles Deleuze, de l'écrivain Michel Tournier. Il est journaliste à Elle, à France-Dimanche, côtoyant ces «grands de la presse», Hélène et Pierre Lazareff. Il publie des reportages prémonitoires, sur le dalaï lama - en 1959 ! -, l'Allemagne communiste, la Corée, la Chine, Israël. Il écrit dans Les Temps modernes, la revue de Sartre.

D'une phrase malicieuse, il aborde un chapitre important de sa vie : «Et Simone de Beauvoir. Nous y voilà !» Car il ne fut pas seulement l'ami le plus proche des deux «stars» intellectuelles Sartre et Beauvoir, il vécut maritalement sept années avec celle que Sartre appelle «le Castor».

Il parle de cette période avec le souci de dire la vérité, sans fard, tout en ne brisant pas le pacte d'intimité qui unit ceux qui se sont sincèrement aimés. Et Claude Lanzmann sait aimer. Il est de ces adultes qu'enflamme une brève rencontre, et qui pleurent à la projection d'un film qui évoque ces coups de foudre sans lendemain sinon la nostalgie. Il met donc son cœur en jeu, comme il engage son corps, au risque de sa vie.

Il se lance des défis sportifs. Il s'expose sur la frontière algéro-tunisienne pendant la guerre d'Algérie, ou en Israël. Il vole sur des avions de chasse. Il pilote un tank. On suit ses aventures comme on lirait un roman de London, de Hemingway, de Kessel. Mais là n'est pas l'essentiel. Lanzmann éprouve son courage. En «voyant» - il se vit ainsi -, il sait qu'une tache exceptionnelle l'attend. Il en connaît le sens : affronter la mort. Il écrit - et tout est dit : «J'ai pris rang dans l'interminable cortège des guillotinés, des pendus, des fusillés, des garrottés, des torturés de toute la terre, de même je suis cet otage au regard vide, cet homme sous le couteau. On aura compris que j'aime la vie à la folie.» Il n'a qu'une seule crainte : «Celle de se conduire lâchement», portant des valises bourrées d'armes, craignant la milice, la Gestapo, la torture et la peur de ne pouvoir y résister pendant que ses amis étaient arrêtés, broyés. Et ce sont les morts qui le hantent. Ce sont eux qu'il veut servir. Lorsqu'il se voue à Shoah, une certitude l'habite : dans ce film les vivants s'effaceront devant les morts pour s'en faire les porte-parole. Point d'images d'archives, d'amoncellement de cadavres. «Mon film devait relever le défi ultime : remplacer les images inexistantes de la mort dans les chambres à gaz.»

C'est le moment capital de la vie de Claude Lanzmann et ses Mémoires changent de statut et de rythme. Ils deviennent le journal d'un créateur, d'une sorte d'archéologue qui doit identifier les traces des crimes que les nazis ont voulu effacer, des témoins qui ont échappé à l'extermination et des bourreaux qui ont esquivé le châtiment. Et Lanzmann les retrouve. Il nous fait partager sa quête angoissée et résolue qui est bien davantage que la recherche de preuves et de témoignages. Car le sujet de son film n'est pas de reconstituer les événements ou les destins miraculeux, exceptionnels des survivants. Shoah doit dire «la mort et non pas la survie, contradiction radicale : les morts ne pouvaient pas parler pour les morts».

Entreprise impossible et cependant réalisée, car elle est aussi «une illumination d'une puissance telle que je sus aussitôt que j'irais jusqu'au bout».

Et nous avançons avec lui tout au long de ses Mémoires qui sont comme Shoah : «Un chœur immense de voix… qui témoignent, dans une véritable construction de la mémoire, de ce qui a été perpétré.»


Un livre, porté comme Shoah, par le jaillissement de la vie.

» Le Lièvre de Patagonie, Mémoires de Claude Lanzmann Gallimard, 546 p., 25 €.

vendredi 13 mars 2009

Une rencontre à Jérusalem organisée avec le Studium Theologicum Salesianum.


Yad Vashem analyse le rôle de Pie XII pendant l’Holocauste
Source : Zenit.

ROME, Vendredi 6 mars (ZENIT.org) -
Au lendemain du cinquantième anniversaire de la mort du serviteur de Dieu Pie XII, dans le siècle Eugenio Pacelli, l'Institut international de recherche de l'holocauste Yad Vashem et le Studium Theologicum Salesianum, Saints Pierre et Paul, organisent les 8 et 9 mars un atelier d'experts qui analyseront l'état actuel de la recherche sur le pape Pie XII et l'holocauste.

Selon les propos rapportés par don Francesco De Ruvo, s.d.b., à ZENIT, « des historiens débattront et partageront les résultats de leurs recherches afin de répondre à une série de questions relatives à la controverse en cours ».

Les historiens et les experts, qui confèrent une dimension internationale à l'initiative, appartiennent aux deux écoles de pensée sur la question : celle qui est plus critique à l'égard de Pie XII et celle qui en apprécie l'œuvre.

La rencontre a lieu alors que les préparatifs de la visite de Benoît XVI le 11 mai prochain à Yad Vashem, mémorial de l'holocauste, battent leur plein et où il participera à une cérémonie en mémoire des victimes de la shoah.

Les experts qui participent aux débats sont Sergio Minerbi, Paul Oshea, Michael Phayer, Susan Zuccotti, Thomas Brechenmacher, Jean-Dominique Durand, Grazia Loparco, Matteo Luigi Napolitano et Andrea Tornielli.

La session d'ouverture sera inaugurée par Avner Shalev, président du Comité de direction de Yad Vashem, et par Mgr Antonio Franco, nonce apostolique en Israël. Les modérateurs seront, pour le Studium Theologicum Salesianum, Don Roberto Spataro et pour Yad Vashem, Mme Iael Orvieto.

« Ces dernières années, de nombreux livres et de nouveaux articles ont été publiés. Ainsi, du nouveau matériel a été présenté qui a permis de mettre en lumière de nouveaux aspects, qui ont besoin d'être regroupés et débattus, pour voir s'il y a quelque chose de nouveau et qui doit être totalement revu », explique le père De Ruvo.

Parmi les différents arguments qui feront l'objet de débats parmi les historiens, se trouve la période qui précède le pontificat de Pie XII, les relations avec les évêques allemands, Pie XII et l'holocauste, la situation en Italie pendant la période de l'holocauste et celle qui a suivi.

« Aujourd'hui, au Musée de l'holocauste Yad Vashem, il y a une légende de photo objet de polémique sur l'œuvre de Pie XII » au sujet de laquelle les historiens n'ont cessé de débattre, explique le père De Ruvo, salésien et chercheur à Jérusalem.

« Pour certains, Pie XII aurait été un spectateur indiffèrent de l'holocauste qui, par son silence, se trouva de connivence avec la monstrueuse tragédie qui se déroulait. Toutefois, d'autres chercheurs et historiens soutiennent depuis longtemps une thèse totalement opposée qui donne une appréciation positive de l'œuvre de Pie XII : il aurait agi pour limiter de toutes les façons possibles les effets de l'holocauste, parfois avec des résultats concrets ».

« Cette dernière position historiographique, ajoute-t-il, est basée sur des documents historiques d'archives et de témoignages aussi bien oraux qu'écrits des protagonistes. Les auteurs qui louent l'action de Pie XII pour le sauvetage des juifs soumettent leurs conclusions, sans distinction d'appartenance ethnique et religieuse. Parmi ceux-ci l'on note de nombreux experts juifs ».

« Un climat d'écoute cordiale et respectueuse a régné jusqu'à aujourd'hui parmi les institutions engagées dans cette initiative qui, selon le souhait de tous, conduira à un accord sur le texte actuel de la légende que l'on voit à Yad Vashem » conclut-il.


© Zenit

Mis en ligne le 13 mars 2009, par M. Macina, sur le site upjf.org

"Auschwitz tombe en ruine et que fait-on?"



Par Alexandre DUYCK
Le Journal du Dimanche

>> Simone Veil a rencontré cette semaine, pour le JDD, une enseignante en Seine-saint-Denis qui lutte depuis des années contre les préjugés antisémites des élèves. Le 12 septembre 2001, dans une classe du lycée professionnel Moulin-Fondu, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). "Dans les tours, y avait aussi des juifs..."; "Partout où t'as du pouvoir et du fric, t'as des juifs"...

"Moi, je dis que c'est une bonne punition pour les juifs..." Samia Essabaa, professeur d'anglais, est sidérée: "Antiaméricanisme exacerbé, racisme et antisémitisme. Des symptômes, ça révèle une maladie. Et une maladie, ça se soigne. Mais comment?"
Elle trouve la solution: emmener ses élèves, presque tous de confession musulmane (comme elle) et perclus de préjugés antisémites, à Auschwitz. Au mémorial de l'Holocauste de Washington, où ils se trouvent ces jours-ci. Depuis son premier voyage au camp d'extermination, Samia Essabaa poursuit cette expérience, dont elle rend compte dans un livre à paraître mercredi*. Livre dans lequel elle rend hommage à Simone Veil, qui l'a beaucoup aidée.

Faut-il aller à Auschwitz pour comprendre la Shoah?
Simone Veil: Un jour, un de mes fils, qui était médecin et avait alors 40 ans, m'a dit: "Je ne veux pas y aller. Je n'irai jamais parce que je ne le supporterai pas." A l'inverse, mon mari, hier, m'a annoncé qu'il était prêt et qu'il avait décidé de s'y rendre. Concernant les plus jeunes, si le déplacement a été bien préparé par l'enseignant, oui, ça vaut la peine d'y aller. Sans quoi, on ne peut pas se rendre compte de ce qu'a été la déportation. Reste qu'Auschwitz tombe en ruine, les baraques sont en train de pourrir, et le monde a l'air de le découvrir. Et que fait-on pour restaurer le camp? Rien. Les lieux n'ont pas été entretenus. Certes, les Polonais n'ont jamais eu beaucoup d'argent, mais ce devrait être la priorité de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, que j'ai présidée mais que je ne préside plus. C'est l'une de ses vocations. Il y a de l'argent qui existe et qui doit être destiné à cela. Sans compter que les Allemands seront prêts à aider, d'autres aussi sans doute. Sauver Auschwitz de la ruine ne me semble pas une tâche insurmontable."

Samia Essabaa: Pour mes élèves, aller à Auschwitz, c'est essentiel. La Shoah, ce n'est pas leur histoire. Ils la connaissent très mal et pour la plupart doutent de sa réalité. C'est la solution que j'ai trouvée pour lutter contre l'antisémitisme: aller sur place au bout d'un travail de préparation qui, à chaque fois, dure six mois, durant lesquels je fais venir des anciens déportés, des enfants cachés, des représentants d'associations. J'emmène les élèves à la grande synagogue de la Victoire à Paris, ils étudient la Shoah en histoire, en anglais, dans les arts appliqués... Je les emmène aussi à la grande mosquée de Paris, je les fais travailler sur l'islam, leur religion, afin de faire ressortir les parallèles avec le judaïsme.

Plusieurs lycéens cités dans le livre n'ont jamais entendu parler d'Auschwitz, qu'ils sont tous censés avoir étudié en 3e...

S. V.: Les programmes sont très lourds, il faut aller très vite. On sait aussi que certains professeurs ne veulent pas étudier la Shoah en classe. Ils ne sont pas nombreux mais ils existent...

S. E.: C'est la vérité. Des enseignants effleurent le sujet pour éviter les problèmes au sein de la classe. Il existe aussi des élèves qui refusent catégoriquement de l'étudier et mettent le professeur devant le fait accompli.

S. V.: Il arrive aussi que des enseignants remplis de bonne volonté n'y arrivent pas... L'autre jour, un professeur m'a envoyé une liste de questions que ses élèves voulaient me poser. Je ne sais pas ce qu'ils s'imaginaient. Ils voulaient savoir si je connaissais le nom du SS qui m'avait fait telle ou telle chose. C'était nul, ils n'avaient absolument rien compris à ce qu'a été la déportation. Je l'ai dit à leur professeur. Il m'est aussi arrivé, il y a peu de temps, une expérience très déplaisante. J'ai été invitée par la directrice d'une institution religieuse près de chez moi, à Paris, pour parler de la Shoah. J'y ai été très bien accueillie par cette directrice et les élèves qui m'ont offert cent roses blanches. Je n'y ai parlé que de la déportation, tout s'est très bien déroulé. Et qu'ai-je appris peu après ? Que le curé avait obtenu le renvoi de la directrice, parce qu'elle m'avait fait venir, moi, l'auteur de la loi sur l'interruption volontaire de grossesse !

Samia Essabaa, quelle image vous vient à l'esprit lorsque vous repensez à votre découverte d'Auschwitz?
S. E.: Le mal-être au fur et à mesure que le car s'approchait du camp. Le mal au ventre. Et puis, une fois arrivée, la vitrine qui rassemble les vêtements des petits enfants. J'ai pensé à ces femmes de mon âge, arrivées ici avec leurs enfants... J'ai dû sortir et je me suis effondrée.

Simone Veil, quand y êtes-vous retournée pour la première fois?
S. V.: Je crois que c'était en 1955, pour les dix ans de la libération. Les Russes tenaient encore le camp. Nous sommes restés à l'extérieur. Il y a des déportés qui ne veulent pas y retourner, d'autres qui y vont souvent. Quand j'y vais, ce n'est pas aussi épouvantable qu'on pourrait l'imaginer. Nous, les déportés, nous sommes plus marqués par les souvenirs que nous avons de certains endroits que par les lieux mêmes. Les chambres à gaz et les crématoires ont pour la plupart été détruits ; il y a de l'herbe, des arbres, l'endroit fait pacifique alors que, quand nous y étions, c'était soit la boue et le froid soit la chaleur accablante. Tout était si sale. Ça n'a aucun rapport avec ce que c'était.

Certains parlent d'une recrudescence de l'antisémitisme en France. Qu'en pensez-vous?
S. V.: Je le crois, effectivement. Le récent scandale Madoff survenu aux Etats-Unis est catastrophique. Ce qui s'est passé récemment en Israël et à Gaza est également mal compris, sans compter ce qu'il adviendra avec le nouveau gouvernement israélien, qui sera très à droite et ne correspondra pas à ce qu'est Israël aujourd'hui.

S. E.: Madoff, les élèves de mon lycée ne savent pas qui il est. Gaza, à l'inverse, les a beaucoup touchés. J'ai été très vigilante et je dois dire qu'à mon grand soulagement, je n'ai pas du tout entendu les propos tenus en septembre 2001. Mes collègues non plus. Le travail que nous menons depuis plusieurs années a réussi à apaiser les tensions. Quand mes élèves ont rencontré des juifs de leur âge, au Maroc, qui, comme eux, portaient des casquettes et ne se différenciaient en rien d'eux, ils ont perdu toutes leurs certitudes, tous leurs repères. C'est aussi ce que je recherche : aider mes élèves à se débarrasser de leurs préjugés pour être autonomes et responsables dans la vie.


* Le Voyage des lycéens, Samia Essabaa, Stock, 196 p., 17 euros. En librairie le 11 mars.

Fin de course pour le kapo de Sobibor


John Demjanjuk.
Photo: AP , JPost

Par MAYA SPITZER ET AGENCES DE PRESSE


La justice allemande a délivré mercredi un mandat d'arrêt international contre John Demjanjuk pour avoir contribué à l'assassinat de 29 000 Juifs lorsqu'il était gardien au camp nazi de Sobibor.

S'il est extradé des Etats-Unis où il réside, Demjanjuk, 88 ans, sera jugé en Allemagne.
Demjanjuk nie son implication dans les meurtres qui lui sont reprochés. Il nie également avoir travaillé pour le compte du régime nazi. Né en Ukraine, il a expliqué par ailleurs que, par crainte d'être renvoyé en Union soviétique, il a déclaré avoir été fermier en Pologne pendant la guerre, au moment de formuler sa demande de visa américain.

Il dit également avoir servi dans l'armée soviétique et avoir été prisonnier de guerre après avoir été capturé par les Allemands en 1942.

Démis de sa nationalité américaine en 1986, Demjanjuk a été extradé en Israël lorsque la justice américaine l'a reconnu comme étant le garde nazi surnommé "Ivan le terrible" à Treblinka. Dix-huit survivants, dont cinq qui ont témoigné à son procès, ont reconnu le gardien du camp où 850 000 prisonniers ont péri. Il a été condamné à mort en 1988.

Or, en 1993, des d'archives soviétiques révélant que l'Ukrainien Ivan Marchenko était le véritable "Ivan le terrible" ont été produites devant la Cour suprême, annulant sa peine. Le rôle de Demjanjuk au camp de Sobibor, a toutefois été confirmé depuis.

En décembre 2005, un tribunal américain a permis son extradition en Ukraine, en Allemagne ou en Pologne mais Demjanjuk a réussi à rester aux Etats-Unis grâce à une longue procédure d'appel.
En décembre dernier, la Cour suprême allemande a autorisé la tenue de son procès en Allemagne. Il devrait être jugé au tribunal de Munich, Demjanjuk ayant vécu dans plusieurs villes de Bavière entre 1945 et 1951. Dès que son extradition sera autorisée par les Etats-Unis, son procès pourra débuter.

lundi 9 mars 2009

Biens spoliés en Lituanie : mieux vaut tard que jamais



Une inscription antisémite "Tous les Juifs doivent mourir", dans une rue londonienne, en février dernier.
Photo: AP , JPost
Par JTA


La Lituanie a accepté de payer 41 millions de dollars en dix ans à la communauté juive en compensation des propriétés spoliées.

Le ministère de la Justice a accepté la semaine dernière de verser les fonds entre janvier 2011 et mars 2021 pour des biens spoliés durant des décennies d'oppression. L'application de cette législation a mis des années avant de se concrétiser.

Le gouvernement lituanien a rendu des synagogues et d'autres endroits de culte à la communauté juive. De nombreux autres biens ont été nationalisés après la Seconde Guerre mondiale et des décennies de gouvernement soviétique.

Le ministre de la Justice, Remigijus Shimashius, a déclaré aux responsables de la communauté juive fin janvier que l'administration du président Valdas Adamkus voulait faire progresser la restitution des biens malgré la crise financière qui touche le pays.

"Cette question a été en suspens pendant 10 ans, mais je crois que le gouvernement au pouvoir veut briser la glace", a affirmé le ministre.

Le montant des compensations représentent un tiers de la valeur des 136 propriétés ayant appartenu à des Juifs. Il s'agit d'endroits comme des centres religieux, culturels ou éducatifs. Les compensations excluent la restitution de parcelles de terres.

samedi 7 mars 2009

Usines Schaeffler : Les historiens confirment le pire


D'après des historiens travaillant sur les camps d'extermination d'Auschwitz en Pologne, l'équipementier automobile allemand Schaeffler a utilisé des cheveux de prisonniers pour fabriquer des textiles durant la Seconde guerre mondiale.

Les chercheurs ont affirmé avoir trouvé des rouleaux de tissu dans une ancienne usine du sud de la Pologne, faits à partir de cheveux de plus de 40.000 détenus.

Le docteur Jacek Lachendro, historien travaillant au musée d'Auschwitz, a de son côté expliqué au journal allemand 'Der Spiegel' que 1,95 tonnes de vêtements fabriqués à partir de cheveux d'êtres humains ont été localisés dans d'anciennes usines de textile et d'armement dans la ville de Kiertz.

Ces découvertes auraient été faites après le retrait des Allemands à la fin de la guerre.

Toujours selon J. Lachendro, des traces de Zyklon B (gaz utilisé pour exterminer en masse les détenus des camps) ont également été retrouvées dans les usines.

Par ailleurs des anciens ouvriers de la fabrique de Kiertz, interviewés par 'Der Spiege' ont assuré se souvenir de deux wagons chargés de cheveux humains arrivant à l'usine en 1943.

L'entreprise Schaeffler a dores et déjà rejeté les accusations des historiens arguant qu'il n'y avait pas de preuve tangible pouvant les confirmer.

mercredi 4 mars 2009

LE PERE NOEL SANS BARBE EST UNE ORDURE



Par Claude Bensoussan pour Guysen International News

Et c’est peu dire.
Le hideux négationniste, non content d’avoir révulsé le peuple juif et tout ce que compte le monde de gens honnêtes, reçoit de façon insidieuse l’appui de quelques médias, bien intentionnés encore.
Sous la photo du personnage revenant d’Argentine, on peut lire ce qui doit suffire au lecteur pressé de classer l’affaire :

L'évêque négationniste Williamson "demande pardon" à ceux qu'il a blessés

« L'évêque intégriste négationniste Richard Williamson a demandé "pardon devant Dieu" à tous ceux qu'il a blessés pour ses déclarations négationnistes, dans une lettre au Vatican publiée jeudi à Rome par l'agence catholique Zenit ».

Quand en plus c’est devant D ieu, on est prêt à passer l’éponge. On imagine déjà le prélat mortifié par ses insanités proférées, se réfugiant dans le carême et la prière, brisé, la tête basse et la queue entre les jambes. « Honte à moi, j’ai blasphémé… »

Tout le monde il redevient beau, tout le monde il redevient gentil…

Mais voilà, ses regrets sont encore plus pervers, plus ignobles que son négationnisme. Il insulte les victimes, toutes les victimes, en faisant part de ses soit- disant regrets. Répéter ses propos nous donne la nausée. Mais il ne faut pas les laisser passer, parce que l’antisémitisme qui monte en flèche partout dans le monde devient plus que préoccupant. Jamais depuis les années trente on n’avait entendu autant de haine dans les rues d’Europe. Mais alors qu’à l’époque, les chemises brunes et leurs fans défilaient en levant le bras et en scandant des « Heil ! », aujourd’hui ce sont toutes les couleurs de l’arc en ciel qui se sont données rendez-vous sur le macadam, du vert olive au vert gazon en passant par le rouge lessivé, le bronzé sans soleil et le noir de l’obscurantisme.

Si le président de l’Union des communautés juives italiennes, Renzo Gattenia, a jugé la lettre « absolument ambiguë » et dans laquelle le corbeau noir « évite soigneusement de renier ses thèses négationnistes » ou de « citer la shoah », il reste loin de la réalité beaucoup moins reluisante que ce qu’il n’imagine. Ce n’est pas ce refus qui est scandalisant mais le contenu de sa phrase la plus contrite, qui est une insulte à toute l’humanité, un pied de nez à l’Eglise, un mépris absolu du judaïsme et des juifs.

En effet, lorsqu’il demande « pardon devant Dieu à toutes les âmes qui se sont honnêtement scandalisées par ce que j’ai dit et qui exprimait seulement l’opinion d’un non historien », il ne dit rien d’autre que « vous êtes tous des imbéciles si vous croyez que je vais renier quoi que ce soit ». Car enfin, s’il fallait être historien pour reconnaître la réalité de la shoah, il ne resterait plus beaucoup de gens sur cette terre pour le faire. Et que sait-il lui du secret des âmes pour avancer que celles-ci ont été « honnêtement scandalisées » ? Les âmes…en a-t-il seulement une lui ?

Un non historien, cela veut dire quoi au juste ? Quelqu’un qui n’a jamais étudié de façon formelle le point de vue historique ni ne s’est adonné, dans le cadre d’un programme de recherches, à l’établissement des faits ainsi qu’ils se sont passés, au vu des témoins des évènements, témoins directs et indirects, acteurs principaux et subalternes…mais je divague, non je ne vais pas abonder dans son sens, lui donner ce plaisir morbide de nous voir enrager.

S’il n’est pas historien, de quoi se mêle t-il ? Et s’il est « non historien » comme il dit, c'est-à-dire homme de la rue, comment prétend t-il connaître le nombre exact de victimes puisqu’il avance le chiffre de 300.000 ? N’est-ce pas plutôt avec la certitude que cela fera mal à ceux qui y ont laissé les êtres les plus chers ? Le pervers ne pousse t-il pas sa jouissance jusqu’à voler la mort des victimes après leur avoir volé la vie ? Et le pire reste à venir. C’est cette phrase qui n’a pas fait bondir grand monde qui me révolte et qui devrait définitivement le condamner, non pas par l’Eglise, trop souvent complice au cours de l’Histoire, de la nôtre en particulier, mais à moisir dans une geôle dans laquelle il aura le loisir de réviser ses classiques jusqu’à ce que mort s’ensuive…

Il regrette (voir remarque plus haut) « la douleur » qu’il a causée « avant tout à l’Eglise », mais aussi « aux survivants et aux parents des victimes qui ont subi des injustices sous le IIIe Reich ».

Vous avez bien lu, non vous n’avez pas la berlue. Ce salaud cherche plus à se disculper vis-à-vis de l’Eglise qui l’a honteusement réhabilité, sachant à qui elle avait affaire, avant même les victimes elles-mêmes auxquelles il a refusé l’existence.

Cet homme est d’une ignominie supérieure à celle de Faurisson, parce qu’avec cette autre crapule on sait à qui on à affaire. Il annonce la couleur et ne présente aucune excuse. Le FSSPXiste lui, (vous remarquerez l’abréviation dans laquelle on retrouve la fraternité SS…), n’a qu’une priorité : l’embarras dans lequel il a plongé la hiérarchie catholique. Cet embarras qu’il nomme « douleur ». Quand on sait la promptitude à avoir mal au cœur de certains prélats, on peut se demander s’ils ne souffrent pas tous d’angine de poitrine…

Et puis, les victimes -lesquelles ? Les communistes, les prisonniers de droit commun, les prisonniers de guerre ?- n’ont subi que « des injustices ». Un génocide, le plus grand massacre de civils de tous les temps, n’est pour cette engeance en soutane, qu’une injustice ! Un déni de justice quoi, un simple désagrément. Il faut lire ses pensées pour comprendre comment ses phrases, chacun de ses mots, ont été étudiés pour faire un maximum de mal.

Vous imaginez ce type, décrit depuis, comme quelqu’un qui s’est retiré pour mieux s’isoler et prier ? Prier qui ? Monsieur se recueille…avec Belzebuth. Parce que, comme disait Barjavel, « si le Diable parle parfois, D.ieu se tait toujours. Il faut trouver les réponses seul. » Ben oui…On pourrait rajouter cette citation célèbre de Robert Burton : « La où D.ieu a un temple, le Diable a une chapelle ». Elle est grande la chapelle de Lucifer…

Moi je le vois bien au spectacle de Dieudonné, à la Main d’Or. Je suis sûr qu’il y sera très bien aux côtés de Le Pen et Faurisson. Peut-être même, non c’est sûr, que le clown hideux fera monter sur scène, le prêtre SS, pour le décorer de l’Ordre de la Soutane Faisandée.

Et si cela ne suffit pas, on lui donnera à réciter jusqu’à ce que la langue se dessèche sur son palais, la liste de tous les lieux du monde où le martyrologue Juif s’est inscrit. C’est là que son catholicisme intégriste s’est le mieux exprimé dans la haine, quand on pense qu’avant l’enseignement du mépris, c’est l’enseignement du meurtre qui était la règle, de Adamov à Zyrardów, en commençant par la lettre A de l’enfer du temps et de l’espace :

ADAMOV (Pologne) - 1941
AGLONA (R.S.S. de Lettonie) - 1941
AGRAM, voir Zagreb (Yougoslavie).
AISHISHAK (R.S.S. de Lituanie) - 1941
AIX-EN-PROVENCE (France) - 1484
AKKERMAN (Russie) - 1905
AKMECHETKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
ALEKSANDIA (Volhynie [R.S.S. d'Ukraine]) - 1942
LEKSANDROV-LODSKI (Pologne) - 1939 ALEKSANDROVSK (Russie) - 1905
ALEXANDRIE (Égypte) - 1938
ALEXANDROUPOLIS (Macédoine, Grèce) - 1943
ALIK (Ukraine) - 1648
ALLEMAGNE - 1933, 1934, 1938, 1939, 1941, 1942, 1943, 1945
ALSACE - 1337
AMSTERDAM - 1940, 1941, 1942, 1943, 1944
ANANIEV (Russie) - 1919
ANAPOL (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942
ANGERS - 1942
ANGLETERRE - 1278, 1290
ANTONOPOL (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
ANTOPOL (Pologne) - 1942
APELDOORN (province de Gueldre, Pays-Bas) - 1943
ARLES - 1484
ARNHEM (Pays-Bas) - 1941
ARNSTADT (Allemagne aujourd'hui R.D.A.) - 1264 ATHÈNES - 1942, 1944
ATLANTA (Géorgie, États-Unis) - 1915
AUGSBOURG (Allemagne) -1348, 1942
AUGUSTÔW (Pologne) - 1943
AUSCHWITZ, camp d'extermination et de concentration, et Auschwitz I1-Birkenau (Pologne) - 1940, 1941, 1942, 1943, 1944, 1945
AUTRICHE - 1420, 1544, 1938
AUTRICHE (BASSE-) - 1670
AUTRICHE (CENTRALE) - 1496
AVIGNON - 1943

B

BABI YAR (R.S.S. d'Ukraine) - 1941, 1943
BACHARACH (Allemagne) - 1942
BADEN (canton d'Argovie, Suisse) - 1349
BAD KISSINGEN (Allemagne) - 1942
BAD KREUZNACH (Allemagne) - 1283, 1287
BAJA (Hongrie) - 1944
BAKHCHISARAY (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
BÂLE - 1349
BALTA (Ukraine) - 1881, 1882, 1905, 1919
BALTI (Bessarabie, R.S.S. d'Ukraine, anciennement Roumanie) - 1941
BAMBERG (Allemagne) - 1298,1942, 1943
BANAT (Yougoslavie) - 1941
BANSKA BYSTRICA (Tchécoslovaquie) - 1944
BAR (Ukraine) - 1648
BARANOVITCHI (R.S.S. de Biélorussie) - 1941, 1942
BARANÔW (Pologne) - 1942
BARCELONE - 1391
BARNEVELD (Pays-Bas) - 1943
BARZNA (R.S.S. d'Ukraine) - 1919

BASILEI (Ukraine) - 1649
BAYRAMTCHA (Russie) - 1905
BEAUNE-LA-ROLANDE (France) - 1941, 1942
BEDZIN (Silésie, Pologne) - 1939, 1942, 1943
BELAYA TSERKOV' (Ukraine) - 1919
BELGIQUE, voir Malines.
BELGOROD-DNESTROVSKIY (R.S.S. d'Ukraine, ancien nement Weissenburg, Roumanie) - 1941
BELGRADE: camp de travail de Semlin (Zemun/Sajmiste) - 1941, 1942
BELKHATOW (Pologne) - 1942
BELOKHITZ (Volhynie, Ukraine) - 1919
BELOVCHTCHINA (U.R.S.S.) - 1942
BELZ (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
BELZY (Roumanie) - 1941
BELZYCE (province de Lublin, Pologne) - 1942, 1943
BENGHAZI (Libye) - 1941, 1942
BERCHAD (Ukraine) - 1919
BERCHING (Allemagne) - 1298
BERDITCHEV (Volhynie, Ukraine) - 1919, 1920, 1941
BERESTECHKO (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
BEREZA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941, 1942
BEREZA KARTUSKA (Pologne) - 1942
BEREZINO (région de Minsk, R.S.S. de Biélorussie) - 1941
BEREZNA (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1943
BEREZNICA (province de Polésie, R.S.S. de Biélorussie) - 1942
BEREZOV (province de Polésie, R.S.S. de Biélorussie) 1942
BEREZOVKA (R.S.S. d'Ukraine)- 1942
BERG (près de Tdnsberg [Vestfold], Norvège) - 1942
BERGEN (Norvège) - 1942
BERGEN-BELSEN (Allemagne) : camp de concentration - 1944, 1945
BERLIN - 1510, 1922, 1939, 1942, 1944, 1945
BERNE - 1427
BÉZIERS - 1209
BIALA PODLASKA (Pologne) - 1941, 1942, 1944
BIALA RAVSKA (Pologne) - 1942
BIALOBRZEGI (Pologne) - 1942
BIALOCZEV (Pologne) - 1942
BIALYKAMIEN (Pologne) - 1942
BIALYSTOK (Pologne)- 1905, 1906, 1941, 1943
BIECZ (Pologne) - 1942
BIELICA (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) - 1941
BIELSK PODLASKI (Pologne) - 1941, 1942
BIKHEVA (province de Lublin, Pologne) - 1942
BILGORAJ (province de Lublin, Pologne) - 1939, 1940, 1942, 1943
BISCHOFSHEIM (Allemagne) - 1235
BITEN (Pologne) - 1942
BIZERTE (Tunisie) - 1943
BLIHUSZ (Pologne) - 1942
BLOIS (France) - 1171
BLONIE (province de Varsovie, Pologne) - 1941
BLUDOV (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
BOBRIK (district deTchernigov, Ukraine) - 1919, 1920
BOBRINETS (district de Kherson, Ukraine) - 1919
BOBRINSKAÏA (Ukraine) - 1918
BOBRKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942, 1943
BOBROUÏSK (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 BOBROVITZY (district de Tchernigov, Ukraine) - 1918, 1920
BOCHNIA (Pologne) - 1605, 1942, 1943
BODZENTYN (Pologne) - 1942
BOGDANOVKA (ancienne Transnistrie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941, 1942
BOGOPOL (U.R.S.S.) - 1905
BOHORODCZANY (Pologne) - 1942
BOLEKHOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1941, 1942, 1943
BOLIMOV (Pologne) - 1940
BONN (Allemagne) - 1096, 1288
BONYHAD (Hongrie) - 1944
BOPPARD (Allemagne) - 1286, 1942
BOR (Yougoslavie) - 1944
BORCHTCHAGOVKA (province de Kiev, Ukraine) - 1919
BORGO SAN DALMAZZO (Italie) - 1943
BORISLAV (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) -
BORISSOV (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 , 1944
BORIVKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1919
BORSZCZOV (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1943
BOSNIE (Yougoslavie) - 1941
BOZEN (Bolzano, Italie) - 1944
BRAGANCE (Portugal) - 1755
BRAÏLOV (Ukraine) - 1919, 1942
BRASLAV (R.S.S. de Biélorussie) - 1942, 1943
BRATISLAVA (Pressburg, Tchécoslovaquie) - 1938, 1942, 1944, 1945
BRATZLAV, voir Brazlav.
BRAUBACH (Allemagne) - 1287
BRAY (France) - 1191
BRAZLAV (Bratzlav, Podolie, Ukraine) - 1919, 1942

BRCKO (Yougoslavie) - 1941
BRDOW (province de Varsovie, Pologne) - 1942
BRESLAU (Wroclaw, Silésie, Pologne) - 1349, 1453, 1940
BREST-LITOVSK (Brzesé nad Bugiem, Biélorussie) 1564, 1905, 1939, 1941, 1942
BRIANSKA GORA (R.S.S. de Biélorussie) - 1942 BRICHANY (R.S.S. de Moldavie) - 1941
BRNO (anc. Brünn Moravie, Tchécoslovaquie) - 1939, 1941, 1943
BRODY (province de Lvov, Ukraine) - 1648, 1942, 1943
BROMBERG, voir Bydgoszcz.
BRUSILOV (provinve de Kiev, Ukraine) - 1919
BRUXELLES - 1349
BRZESC KUJAVSKI (Pologne) - 1942
BRZESC NAD BUGIEM, voir Brest-Litovsk.
BRZESKO (Pologne) - 1942
BRZEZANY (R.S.S. d'Ukraine) - 1942, 1943
BRZEZCE (district de Katowice, Pologne) - 1945
BRZEZINY (Pologne) - 1942
BRZEZINY LODZKIE (Pologne) - 1942
BRZOZDOVCE (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
BUCAREST (Roumanie) - 1941
BUCHENWALD (Allemagne, aujourd'hui R.D.A.) : camp de concentration - 1937, 1938, 1942, 1945
BUCZACZ (province de Tarnopol, R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1941, 1942, 1943, 1944
BUDAPEST - 1939, 1944, 1945
BUDWEIS (auj. Ceské Budejovice, Bohême, Tchécoslovaquie - 1505, 1942
BUDZANOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1943
BUGAJ (Pologne) - 1942
BURDUYENI (Roumanie) - 1941
BURGDORF (canton de Berne, Suisse) - 1349
BURGOS (Espagne) - 1391
BURSZTYN (province de Galicie, Pologne) - 1942
BUSK (U.R.S.S.) - 1943
BUSKO ZDROJ (Pologne) - 1942BYDGOSZCZ (anc. Bromberg, Pologne) - 1939
BYTEN (R.S.S. d'Ukraine) - 1942

C

CARINTHIE (Autriche) - 1496
CASTELSARRASIN (France) - 1320
CASTILLE (province d'Espagne) - 1412
CAUSANI (Bessarabie) - 1940
CAVALLA (Macédoine, Grèce) - 1943
CELINY (Pologne) - 1940
CESKÉ BUDEJOVICE, voir Budweis. CHALKIS (Halkida, Grèce) - 1944
CHANIA (Grèce) - 1944
CHANSKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
CHECINY (province de Kielce, Pologne) - 1940, 1942
CHELM (Pologne) - 1939, 1940, 1942
CHELMNO (Kulmhof, Pologne) : camp d'extermination - 1941, 1943, 1945
CHEMEREVTZKY (Ukraine) - 1919
CHEMERINKA (Ukraine) - 1905
CHERKASSY (Ukraine) - 1919
CHERNOVTSY, voir Czernovitz. CHERVEN (U.R.S.S.) - 1942
CHIBENE (Ukraine) - 1919
CHINON (France) - 1321
CHMIELNIK (province de Kielce, Pologne) - 1939, 1941, 1942, 1943
CHODEL (Pologne) - 1942
CHODOROV (Galicie orientale, R.S.S. d'Ukraine) - 1942, 1943
CHOROSTKOW (province de Galicie orientale, R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942
CHORTKOV, voir Czortkov. CHRZANOW (Pologne) - 1939, 1940, 1942, 1943
CIECHANOV (Pologne) - 1941, 1942, 1943, 1944
CIECHANOVIEV (Pologne) - 1942CIECHOCINEK (Pologne) - 1942
CIEPIELOV (Pologne) - 1942
CIEZKOVICE (Pologne) - 1940
CIHRIN (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
CIUDAD REAL (Espagne) - 1484, 1486
CLERMONT-FERRAND - 1095
COBLENCE (Allemagne) - 1265
COIMBRA (Portugal) - 1664, 1696, 1704, 1718, 1723
COLMAR - 1348
COLOGNE (Allemagne) - 1096, 1349
COMOTINI (Macédoine, Grèce) - 1943 COMPIÈGNE (France) - 1942
CON1, voir Cuneo.
CONSTANCE (Allemagne) - 1349
CONSTANTINE (Algérie) - 1934
CORDOUE (Espagne) - 1473, 1727
CORFOU (Grèce) - 1891 , 1943, 1944
CRACOVIE (Pologne) - 1463, 1494, 1939, 1940, 1941, 1942, 1943 1945
CRÈTE (Grèce) - 1944
CRIMÉE, presqu'île de (U.R.S.S.) - 1942
CROATIE, province de (Yougoslavie) - 1941

CRVENKA (Yougoslavie) - 1944
CSERVENKA (Hongrie) - 1944:
CSORNA (Hongrie) - 1944
CUENCA (Espagne) - 1654
CUNEO (Italie) - 1945
CZARTORYSK (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
CZELLDÔMÔLK (Hongrie) - 1920
CZEMIERNIKI (Pologne) - 1942
CZERNOVITZ (Chernovtsy, capitale de la Bukovine,
R.S.S. d'Ukraine, anciennement Roumanie) - 1941, 1942
CZERWINSK (Pologne) - 1942
CZESTOCHOWA (Tschenstochau, Pologne) - 1902,
1939, 1940, 1941, 1942, 1943
CZMIELO V (district de Kielce, Pologne) - 1942
CZORTKOV (Chortkov, R.S.S. d'Ukraine;
anciennement en Pologne) - 1941, 1942, 1943
CZUDYN (Bukovine, Roumanie) - 1940, 1941
CZYZEV (Pologne) - 1941

D

DABIE (Pologne) - 1941
DABROVICA (U.R.S.S.) - 1942
DABROWA-GORNICZA (province de Katowice, Pologne) - 1938, 1942, 1943
DACHAU (Allemagne) : camp de concentration - 1938, 1944, 1945
DACHEV (province de Kiev, Ukraine) - 1920
DAMAS (Syrie) - 1840
DANEMARK - 1943
DANTZIG (Gdansk, Pologne) voir Stutthof.
DAPHNÉ (Antioche, aujourd'hui Turquie) - 507
DARABANI (Roumanie) - 1941
DARNICA (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
DAVID-GORODOK (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 DAVIDKA (Volhynie, Ukraine) - 1919
DEBLIN (Pologne) - 1942
DEBRECEN (Hongrie) - 1944.
DEGGENDORF (Allemagne) - 1337
DELFZIJL (province de Groningue, Pays-Bas) - 1945
DEMBICA (district de Cracovie, Pologne) - 1942
DEMIDAVKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
DERECZYN (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
DIESSENHOFEN (Suisse) - 1349.
DNIEPROPETROVSK, voir Iekaterinoslav. DOBIECIN (Varsovie, Pologne) - 1943
DOBRA (Pologne) - 1942
DOBRCZ (Pologne) - 1939
DOBROMIL (R.S.S. d'Ukraine) - 1941, 1942
DOLHINOV (R.S.S. de Biélorussie) - 1942.
DOLINA (Pologne) - 1942
DOMACZOV (Polésie, R.S.S. de Biélorussie) - 1941
DOMANEVKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
DONETSK (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
DORA-NORDHAUSEN (Allemagne, aujourd'hui R.D.A.)
camp de concentration - 1944, 1945
DORNA VATRA (Bukovine, R.S.S. d'Ukraine, ancienne
ment Roumanie) - 1941
DOROHOI (Roumanie) - 1940, 1941, 1942
DORTMUND (Allemagne) - 1942
DOVGALISZEK (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
DRAMA (Macédoine, Grèce) - 1943
DRANCY (France) - 1942, 1944
DRESDE - 1349
DROHICZYN (Drogitchin, Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
DROHOBYCZ (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne)
- 1941, 1942, 1943
DRUSZKOPOL (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
DRUYA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
DSHAKOI (presqu'île de Crimée, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
DUBIENKA (Pologne) - 1942
DUBNO (Ukraine) - 1919, 1939,1941
DUBOVO (province de Kiev, Ukraine) - 1919
DUISBURG (Allemagne) - 1942
DUMANOVKA (district de Kiev, Ukraine) - 1921 DÜNABURG (Dvinsk, R.S.S. de Lettonie) - 1941, 1942, 1943
DUNAYEVTZY (R.S.S. d'Ukraine) - 1919, 1942
DUNILOWICZE (Vilno, R.S.S. de Lituanie) - 1942
DUNKOV (Russie) - 1919
DUOLY (Pologne) - 1942
DÜSSELDORF (Allemagne) - 1942
DWORZEC (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
DYMAR (Russie) - 1905, 1919

DYNOV (Pologne) - 1942
DZEVICE (district de Kielce, Pologne) - 1942
DZIALOSZYCE (province de Cracovie, Pologne) - 1942
DZIALOSZYN (Pologne) - 1942
DZIECIOL (R.S.S. de Biélorussie) - 1942 DZIGORZEW (Pologne) - 1939
DZISNA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941, 1942, 1943

E

EBENSEE (Autriche) - 1945
EDINITA (Bessarabie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
EGER (Cheb, Tchécoslovaquie) - 1350, 1938
ELISABETHGRAD (Russie) - 1881, 1905, 1919
ELLECOM (province de Gueldre, Pays-Bas) - 1942
ELLER (Allemagne) - 1096
EMILTCHINE (Volhynie, Ukraine) - 1919
ENNS (Haute-Autriche) - 1420
ERFURT (Allemagne) - 1221, 1349
ESPAGNE - 1320, 1412, 1492, 1531
ESSEG, voir Osijek.
ESSLINGEN (Allemagne) - 1348
EUPATORIA (presqu'île de Crimée, R.S.S. d'Ukraine) 1942
EVORA (Portugal)- 1605, 1606, 1629

F

FALENICA (Pologne) - 1942
FALESTI (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
FELCHTIN (Ukraine) - 1919
FELDKIRCH (province du Vorarlberg, Autriche) - 1349
FEODOSSIYA (presqu'île de Crimée, R.S.S. d'Ukraine)- 1941, 1942
FERRARE (Italie) - 1943
FLORENCE - 1943, 1944
FLORINA (Macédoine, Grèce) - 1943
FLOSSENBÜRG (Allemagne) : camp de concentration 1945
FOSSOLI (Italie) - 1944
FRANCE - 1306, 1394, 1895, 1940, 1942, 1943, 1944
FRANCFORT-SUR-LE-MAIN (Allemagne) - 1241, 1349, 1614
FRIBOURG-EN-BRISGAU (Allemagne) - 1349
FRIEDRICHSHAFEN (Allemagne) - 1349
FULDA (Allemagne) - 1235, 1349
FÜRTH (Allemagne) - 1942

G

GABIN (province de Varsovie, Pologne) - 1942
GAISSIN (province de Podolie, Russie) - 1919
GALATZ (Galati, Roumanie) - 1859
GALIBICY (district de Demidov, U.R.S.S.) - 1942
GALICIE ORIENTALE (R.S.S. d'Ukraine, anciennement
Pologne) - 1941
GANACKER (Allemagne) - 1945
GARBATKA (Pologne) - 1942:
GARSDEN (R.S.S. de Lituanie) - 1941
GARVOLIN (Pologne) - 1942
GDANSK (Dantzig, Pologne) voir Stutthof. GERDERN (Allemagne) - 1096
GELSENKIRCHEN (Allemagne) - 1939
GÊNES - 1943
GERMERSHEIM (Allemagne) - 1343
GÉRONE (Espagne) - 1391
GIADI, voir Benghazi.
GLEBOKIE (R.S.S. de Biélorussie, anciennement Pologne) - 1942, 1943
GLEIWITZ (Silésie, Pologne) - 1939
GLINYANY (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1941, 1942
GLOVNO (Pologne) - 1940
GLUSK (Pologne) - 1942
GNIEWOSZOV (Pologne) - 1942
GNIEZNO (Pologne) - 1939
GOCHEVO (Ukraine) - 1919
GOGOLEVO (district de Tchernigov, R.S.S. d'Ukraine) -1920
GOLESZOW (camp, Pologne) - 1943
GOLINA (Pologne) - 1941
GOLINKA (Pologne) - 1942
GOLOVANEVSK (Russie) - 1919
GOLTA (province de Podolie, Ukraine) - 1905, 1920
GOMEL (R.S.S. de Biélorussie) - 1941, 1943
GONIADZ (Pologne) - 1942
GÔRA KALWARIA (Pologne) - 1941
GORAJ (Pologne) - 1942
GORCHTCHIK (Volhynie, Ukraine) - 1919
GORLICE (Pologne) - 1939, 1942, 1943. GORNOSTAIPOL (Ukraine) - 1919
GORODOK, voir Grodek (R.S.S. de Biélorussie). GORZKÔW (Pologne) - 1942
GOSPIC (Yougoslavie) - 1944
GOSTYNIN (Pologne) - 1942
GOUVERNEMENT GÉNÉRAL (Pologne) - 1941
GRABOVIEC (Pologne) - 1942
GRAJEWO (Pologne) - 1942
GRAZ (province de Styrie, Autriche) - 1497
GRÈCE - 1941, 1944
GRODEK (Gorodok, R.S.S. de Biélorussie) - 1941, 1942
GRODEK (province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942, 1943
GRODEK JAGIELLONSKI (Galicie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942, 1943,
GRODNO (R.S.S. de Biélorussie, anciennement Pologne) - 1941, 1942, 1943
GRODZISK (Pologne) - 1939
GRODZISK MAZOVIECKI (Pologne) - 1941
GROJEC (Pologne) - 1939, 1941, 1943
GRONINGUE (Pays-Bas) - 1942
GROSEC (district de Varsovie, Pologne) - 1943
GROSS-ROSEN (Silésie, Pologne) : camp de concentration - 1940, 1945
GROSSWARDEIN, voir Nadyvarad. GRYBOV (Pologne) - 1942
GRYGROW (Pologne) - 1939
GUERMANOVKA (Ukraine) - 1919
GURAHUMORA (Bukovine, Roumanie) - 1941
GWIZDZINY (Pologne) - 1945
GYÔR (Raab, Hongrie) - 1944

H

HACHTCHEVATY (Podolie, Ukraine) - 1919
HADJERAT-M'GUIL (Algérie) - 1941
HAÏFA (Palestine) - 1100. 1940 .
HAJDUCZOK (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
HALLEIN (Autriche) - 1404.
HANCEWICZE (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
HARANGOD (Hongrie) - 1944
HÉBRON (Palestine) - 19291936
HEILBRONN (Allemagne) - 1298
HÉRAKLION (Crète, Grèce) - 1944
HERMANOVICE (Pologne) - 1941
HERRERA (Espagne) - 1501
HERZÉGOVINE 1941
HEVES (Hongrie) - 1944
HILVERSUM (Pays-Bas) - 1941
HODMEZOVASARHELY (Hongrie) - 1944
HODORKOV (district de Kiev, Ukraine) - 1920
HOFAMT PRIEL (Autriche) - 1945
HOLLESCHAU (Tchécoslovaquie) - 1918
HOLONIE (R.S.S. de Biélorussie) -1942
HOMEL (Ukraine) - 1648: 1768: 1903:
HONGRIE - 1938; 1939: 1941: 1942: 1944 1945
HORB (Allemagne) - 1348.
HOROCHOV (Pologne) - 1942
HORODEC (Pologne) - 1942:
HORODENKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
HORODNA (province de Polésie, Pologne) - 1942
HRUBIESZOV (Pologne) - 1942
HULIEVKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
HUSZCZ (R.S.S. d'Ukraine) - 1942

I

IEKATERINOSLAV (Dniepropetrovsk, R.S.S. d'Ukraine)1883 1905 : 1941 :
IGNATOVKA (U.R.S.S.) - 1942
ILINETS (Ukraine) - 1919.
ILYA (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
ILZA (Pologne) - 1942
IMERINKA (Ukraine) - 1919.
IMIELNICA (Pologne) - 1941.
IODA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941.
IPHOFEN (Allemagne) - 1298
ISNUCHPOL (Volhynie, Ukraine) - 1919
ITALIE - 1553. 1943 1944; 1945.
ITCHNIA (district de Tchernigov, Ukraine) - 1919 IVANIKI (U.R.S.S.) - 1941.
IVANISKA (district de Kielce, Pologne) -1942
IVANKOV (Ukraine) - 1919 1920.
IVANOVO (R.S.S. de Biélorussie) 1942
IVANTCHIK (Podolie, Ukraine) - 1919
IVIENIC (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
IWJE (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) - 1942 -1943
IZBICA (Pologne) - 1942-1943
IZBICA KUJAWSKA (Pologne) - 1942
IZBICA LUBELSKA (province de Lublin, Pologne) - 1942
IZIEU (France) - 1944

J

JABLONOW (Pologne) - 1942
JABOCRITCH (province de Podolie, Ukraine) - 1919:
JACA (France) - 1320
JACHKOV (province de Kiev, Ukraine) -1919-1920
JADLOVA (Pologne) - 1942.
JADOVO (Pologne) - 1942
JAFFA (Palestine) - 1921
JALTICHKOV (Ukraine) -1919 JANNINA (Grèce) - 1944
JANOV (Russie) - 1919: 1942:
JANOV PODLASKI (Pologne) - 1942.
JANOVSKA, camp à Lvov 1943
JARCZEV (Pologne) - 1939
JAROSLAV (Pologne) - 1939.
JARYCZOV NOVY (province de Galicie, Pologne) - 1943
JASENOVAC (Yougoslavie) - 1941 : 1943 : 1945
JASIONOVKA (Pologne) - 1943:

JASLO (Pologne) - 1942
JASSY (Roumanie) - 1941
JASTARY (R.S.S. de Lituanie) - 1942:
JAVOROV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942,1943
JDANOV (Marioupol, R.S.S. d'Ukraine) - 1941.
JEDLINA (Pologne) - 1944
JEDLINSK (Pologne) - 1942
JEDRZEJOW (province de Kielce, Pologne) - 1942
JENDRZEJOW (district de Kielce, Pologne) - 1943:
JENDRZESOW (Pologne) - 1942: JÉRUSALEM - 1099:
JESENTUKI (U.R.S.S.) - 1942.
JEZIERZANY (R.S.S. d'Ukraine, 1942; 1943.
JEZIORNA (Pologne) - 1941.
JIDOVSKA-GREBLA (Ukraine) - 1919
JITOMIR (province de Volhynie, Ukraine) - 1905 ;1919
JIVATOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1919.
JODLOVA (Pologne) - 1942
JOSEFOV (Pologne) - 1942.
JULIERS (Jülich, Allemagne, aujourd'hui R.F.A.) - 1942:
JUMPRAVAS MUIZA ( R.S.S. de Lettonie) - 1941 :
JUSOVKA (Russie) - 1905:
JUSTINGRAD-SOKOLOVKA (district de Kiev)- 1919

K
KAGANOVITCH (U.R.S.S.) - 1941 :
KAIDANOVO (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
KALARACH (Russie) - 1905:
KALINOVKA (province de Podolie, Ukraine) - 1919. KALISZ (Pologne) - 1939-1940-1941
KALOCSA (Hongrie) - 1944
KALUSZ (U.R.S.S., anciennement Pologne) - 1917-1942
KALUSZYN (Pologne)- 1939 : 1942
KALVARYA (district de Minsk, R.S.S. de Biélorussie) -1941
KAMENETS PODOLSKIY (R.S.S. d'Ukraine) - 1648:
1919: 1941.
KAMENSKOYE (Russie) - 1905:
KAMIEN KOSZYRSKI (R.S.S. d'Ukraine)- 1942
KAMIENIEC LITEWSKI (district de Polésie, R.S.S. de Biélorussie) - 1942:
KAMIENSK (Pologne) - 194
KAMIONKA (district de Lublin, Pologne) - 1942: KAMIONKA-STRUMILOVA (R.S.S. d'Ukraine,)1941-1942-1943
KAPOSVAR (Hongrie) - 1944
KARASUBASAR (presqu'île de Crimée, R.S.S. d'Ukraine)1941
KARCZEV (Pologne) - 1942:
KARELIC (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
KARIW (Pologne) - 1942.
KASCHAU, voir Kosice.
KASDANOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
KASSA (Hongrie) - 1944
KAUNAS (Kovno, R.S.S. de Lituanie) - 1941 1943:1944
KAZANOV (Pologne) - 1942
KAZIMIERZ (district de Lublin, Pologne) - 1941-1942
KEMPTEN (Allemagne) - 1942
KERPEN (Allemagne) - 1096.
KERTCH (presqu'île de Crimée) - 1905: 1941
KESZTELY (Hongrie) - 1944:
KHAMOVKA (Russie) - 1919:
KHARKOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
KHERSON (R.S.S. d'Ukraine) - 1905
KHMELNIK (Ukraine) - 1919; 1942.
KHOTIN (Holin, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
KICHINEV (Moldavie) - 1903; 1905:1941
KIELCE (Pologne) - 1941 : 1942-1944-1946
KIELSZTYGLOV (Pologne) - 1942
KIEV (Ukraine) - 1881 : 1905: 1911-1913-1919-1941-1942-1943
KIMELISZEK (R.S.S. de Lituanie) - 1942.
KIMPOLUNG (Bukovine, Roumanie) -
KIRILOVKA (Russie) - 1919.
KIRN (Allemagne) - 1287
KIROVOGRAD 1941
KISTARCSA (Hongrie) - 1944
KITAI-GOROD (district de Podolie, Ukraine) - 1919 KITZINGEN (Allemagne) - 1243.
KLASZKOVCE (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
KLAUSENBURG, voir Koloszvar (Roumanie).
KLECK (Klezk, R.S.S. de Biélorussie) - 1941 :1942
KLEINGARLACH (Allemagne) - 1298
KLEMENTOV (Pologne) - 1942
KLEWOW (Pologne) - 1942
KLINTZY (Russie) - 1905
KLODAWA (Pologne) - 1942.
KLOOGA (Estonie) - 1944
KNISZYN (Pologne) - 1942
KOBERN (Allemagne) - 1287
KOBRYN (R.S.S. d'Ukraine)- 1941 -1942:
KOBYLNIK (district de Vilna, R.S.S. de Lituanie) - 1943
KOBYLNIKI (près de Minsk,) - 1942
KOCK (Pologne) - 1942:
KOCZYN (Pologne) - 1942:
KOLBIEL (Pologne) - 1942.
KOLBUSZOVA (Pologne) - 1942.
KOLDYCZEVO (R.S.S. de Biélorussie) - 1944
KOLO (Pologne) - 1941
KOLOMYYA (R.S.S. d'Ukraine) 1942-1943
KOLOZSVAR (Cluj, Roumanie, anciennement Klausenburg) - 1944
KOLTYNIAN (Pologne) - 1941
KOMARNO (district de Lvov, [LembergJ, R.S.S. d'Ukraine)
- 1941-1942- 1943
KOMAROV (Pologne) - 1942
KONEW (Pologne) - 1942
KONIECPOL (Pologne) - 1942.
KONIN (Pologne) - 1941
KONITZ (Allemagne, aujourd'hui Pologne) - 1891 1900
KONSKIE (province de Kielce, Pologne) - 1939
1942 -1943
KONSKOVOLA (Pologne) - 1942
KONSTANTINOV (Ukraine) - 1648 : 1942
KOPAI-GOROD (Russie) - 1919
KOPERNIK (Pologne) : camp - 1942 -1943
KOPRZYWNICA (Pologne) - 1942
KOPYCZYNCE (R.S.S. d'Ukraine) - 19421943
KORNIN (Ukraine) - 1919
KOROPETS (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
KORZEC (Koretz/Kori(-, Ukraine) - 1648-1941
1942:
KORZENIEC (Pologne) - 1942
KOSICE (Kaschau, Tchécoslovaquie) - 1944
KOSOW (Pologne) - 1943
KOSOW LACKI (Pologne) - 1942
KOSSOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 : 1942:
KOSTOPOL (Pologne) - 1942
KÔSZEG (Güns, Hongrie) - 1944; 1945
KOSZYCE (Pologne) - 1942.
KOURSK (R.S.F.S.R.) - 1905-1942
KOVALE PANSKIE (Pologne) - 1941 1942
KOVEL (R.S.S. d'Ukraine) - 1941; 1942
KOVIN (province de Serbie, Yougoslavie) - 1942: KOVNO, voir Kaunas (R.S.S. de Lituanie). KOZIANY (R.S.S. de Biélorussie) - 1942-1943
KOZIENICE (Pologne) - 1942
KOZLOV (province de Kielce, Pologne) - 1944 KOZLOVSTCHINE (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 KOZMICE
(Pologne) - 1939
KOZOVA (province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine) - 1943
KRAGUJEVAC (Yougoslavie) - 1942
KRAKOWIEC (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
KRASICZYN (Pologne) - 1942
KRASNE (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942 KRASNIK (Pologne) - 1942
KRASNOBROD (Pologne) - 1942
KRASNODAR (anciennement Ekaterinodar, U.R.S.S.) -
1942
KRASNOSIELC LESNY (Pologne) - 1939
KRASNOSTAV (Russie) - 1919-1942
KRATICZYN (Pologne) - 1942
KRAUTHEIM (Allemagne) - 1298:
KREMENETS (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
KREMENTCHOUG (Ukraine) - 1905-1941
KREMNICKA (Tchécoslovaquie) - 1944
KREMS (Autriche) - 1349.
KRIMILEW (Pologne) - 1943
KRIVOÏ-ROG (Ukraine) - 1905 -1944
KROSNO (Pologne) - 1942
KROSNOWIECE (Pologne) - 1942:
KROTTINGEN (R.S.S. de Lituanie) - 1941
KRUKIENICE (Pologne) - 1942
KRUPKI (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
KRUSZYNA (Pologne) - 1942
KRYCHOV (Pologne) - 1943
KRYNKI (province de Bialystok, Pologne) - 1942-1943
KRYRY (district de Katowice, Pologne) - 1944
KRYUPOV (U.R.S.S.) - 1941
KRZEMIENIEC (Volhynie) - 1941-1942-1943
KRZESZOV (Pologne) - 1942:
KUBIN (district de Lodz, Pologne) - 1942
KUBYN (district de Lublin, Pologne) - 1942
KULIKOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
KULMHOF, voir Chelmno.
KUROVICHTCHA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
KURZANHRADEK (U.R.S.S.) -1942 KURZENIETZ (U.R.S.S.) - 1942
KUTNO (Pologne) - 1939-1940-1942
KUTY (R.S.S. d'Ukraine) - 1942v
KYBURG (Autriche) - 1349:
KYSAK (Slovaquie, Tchécoslovaquie) - 1944

L

LACHOVICE (R.S.S. de Biélorussie) - 1941-1942
LACHVA (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
LADYGINE (Russie) - 1919
LAGOV (Pologne) - 1942.
LA GUARDIA (Espagne) - 1491 :
LA HAYE - 1940: 1941-1942-1943
LAHSTEIN (Allemagne) - 1287
LANCUT (Pologne) - 1939- 1942
LANIETA (Pologne) - 1942
LANOVITZ (U.R.S.S.) - 1942: 13 août.

LANTZKURON (district de Podolie, Ukraine) - 1919
LASK (province de Lodz, Pologne) - 1940-1942
LASKACZEV (district de Lublin, Pologne) - 1942v
LASOCZYN (Pologne) - 1942
LASZCZOV (Pologne) - 1942.
LATOVICZ (Pologne) - 1942
LAUDA (Allemagne) - 1235
LAVOCZNE (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
LECHNIÔW (Pologne) - 1943
LECHOVIEZ (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
LECZNA (Pologne) - 1942-1943
LECZYCA (Pologne) - 1639- 1942
LEGIONOVO (Pologne) - 1940; 1942
LELOW (Pologne) - 1939
LEMBERG, voir Lwow.
LENINO (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
LEOVA (R.S.S. de Moldavie) - 1940
LEPEL (R.S.S. de Biélorussie) -1942 LEPTOKARIA (Grèce) - 1942:
LESKO (province de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
LESZNO (Pologne) - 1942:
LEZAJSK (Pologne) - 1939.
LIBAU, voir Liepaja.
LIBYE - 1942 :
LIDA (R.S.S. de Lituanie) - 1941-1942-1943
LIEPAJA (Liban, R.S.S. de Lettonie) - 1941 -1942-1943-44
LIGA (district de Grodno, R.S.S. de Biélorussie) - 1941 :
LIMA (Pérou) - 1595: 1600; 1605 : 1639:.
LINCOLN (Angleterre) - 1255:
LINDAU (Allemagne) - 1348:
LIPKANY (R.S.S. de Moldavie) - 1941
LIPNISZKI (, R.S.S. de Biélorussie) - 1941-1942
LIPOVETZ (Russie) - 1919:
LIPSKO (Pologne) - 1942:
LISBONNE - 1506: 1540: 1541 : 1542:; 1603 1605 : 1624: 1629: 1642: 1647; 1652: 1660: 1675: 1681 : 1684: 1704: 1705 : 1706; 1713 : 1726: 1737-1739: re; 1746: 1752: 1755 : 1765
LISKO (Pologne) - 1941
LISOVIKI (Pologne) - 1942
LITIN (district de Podolie,) - 1919: 1941 :
LLERENA (Espagne) - 1725v
LODZ (Pologne) - 1892: 1905: 1939-1940-1942-1944
LOMAZY (Pologne) - 1942:
LOMZA (Pologne) - 1941 -1942-1943
LONDRES (Angleterre) - 1189: 1239 :1255 :1290 :1943
LOPATYN (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
LOSICE (Pologne) - 1942:
LOWICZ (Pologne) - 1939; 1941 :1944
LUBACZOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1943
LUBARTOW (Pologne) - 1942:
LUBCZ (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
LUBECZOV (R.S.S. de Biélorussie) - 1942
LUBLIN (Pologne) - 1939-1941 -1942-1943-1944-46
LUBOML (R.S.S. d'Ukraine,) - 1941-1942
LUBYCZA KROLEVSKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
LUDVIPOL (Pologne) - 1942:
LUDVISIN (Pologne) - 1942:
LUGA WOLA (Pologne) - 1942:
LUKACHEVKA (district de Kiev, Ukraine)1919
LUKACZIN (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
LUKOV (province de Lublin, Pologne) - 1939-1942-1943
LUNINIEC (U.R.S.S.) - 1942
LUSZKI (district de Vilna) - 1942:
LUTSK (Luzk, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 1942
LUTUTOV (Pologne) - 1942: LUXEMBOURG - 1940:
LUZK, voir Lutsk.
LVOV, voir Lwow.
LWOW (Lemberg, Galicie orientale ; auj. Lvov, R.S.S.
d'Ukraine) - 1592: 1648 : 1728
1915 : 1918: 1941
1942
1943
LYNN (Angleterre) - 1189
LYON - 1943: 1944
v LYSAYA GORA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942 LYUBAVITCH (U.R.S.S.) - 1941v

M

MACZEV (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) -1942 MACZEVICE (Pologne) - 1940
MADRID - 1632: 1680: 1720:1721
MAGDEBURG (Allemagne) - 1302: MAGIEROV (Pologne) - 1942
MÀHRISCH OSTRAU, voir Moravska Ostrava. MAÏDANEK (Pologne) - 1941-42-43-44
MAJDAN TATARSKI (Pologne) - 1942
MAKOV MAZOVIECKI (Pologne) - 1942:
MALGOSZCZ (Pologne) - 1942:
MALINA (district de Kiev, R.S.S. d'Ukraine) - 1919:
MALINES (Mechelen, Belgique) : camp de concentration - 1942 -43-44
MALKI (district de Brodnica, Pologne) - 1945:
MALY TROSTINETS (R.S.S. de Biélorussie) - 1943
1944
MALYUNY (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 MARAMAROSSZIGET (Hongrie) -1944 MARCINCOWCE (Pologne) - 1942
MARCULESTI (Bessarabie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
MARE-DU-PARC (France) - 1266
MARIENBAD (Marianski Lazne, Tchécoslovaquie) - 1933
1938 1945
MARIOUPOL (Russie) - 1905
MARKUSZOW (Pologne) - 1942
MARSEILLE - 1943:
MAUTHAUSEN (Autriche) : camp ion - 1945
MAYENCE (Allemagne) - 1096: 1281:
1283 -1349:
MECHELEN, voir Malines.
MECHIGORIE (district de Kiev, Ukraine) - 1919. MECKLEMBOURG (Allemagne) - 1492
MEHR (Allemagne) - 1096:
MEININGEN (Thuringe, Allemagne) - 1298 : 1349
MELLRICHSTADT (Allemagne) - 1349
MEMEL (Lituanie) - 1939:
MENGEN (Allemagne) - 1349:
MERANO (Italie) - 1943:
MERGENTHEIM (Allemagne) - 1298:
MESSENA (États-Unis) - 1928:
MESSKIRCH (pays de Bade, Allemagne) - 1349
METZ - 1670:
MEXICO - 1590: 1596-1601; 1649:
MIASTKOVKA (province de Podolie, Ukraine) - 1920:
MICHALPOL (Ukraine) - 1919:
MIEDZYRZEC PODLASKI (district de Lublin, Pologne) - 1942 : 1943
MIELEC (Pologne) - 1939- 1942: 1944: 1945
MIELNICA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
MIHOVA (Roumanie) - 1943:
MIKOLASOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
MIKOLAYOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
MIKULIUCE (Pologne) - 1942:
MILAN - 1943: 1944:
MINDEN (Allemagne) - 1350:
MINERALNOYE VODY (U.R.S.S.) - 1942:
MINSK (Biélorussie) - 1905 : 1941 :1942-1943
MINSK MAZOWIECKI (Pologne) - 1942: 1943
MIODY (R.S.S. de Lituanie) - 1942:
MIORY (R.S.S. de Lettonie) - 1942
MIR (R.S.S. de Biélorussie,) - 1941-42
MIZOCZ (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) -1942. MLAWVA (district de Varsovie, Pologne) - 1940-42 MOCHY
(Pologne) - 1943:
MOGILEV (Russie) - 1905: 1941
MOHACS (Hongrie) - 1944:
MOKRE SLASKIE (district de Katowice, Pologne) - 1945
MOLCZADZ (R.S.S. de Biélorussie) - 1942: MONASTERZYSKA (R.S.S. d'Ukraine) -1941-42 MONASTIR
(Bitola, Macédoine, Yougoslavie) - 1943:
MONASTIRISTCH (R.S.S. d'Ukraine) - 1919: MORAVICA (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1943. MORAVSKA
Ostrava (Mâhrisch Ostrau, Tchécoslovaquie) - 1939: 1942: 1943
MORDARKA (Pologne) - 1939:
MORDY (Pologne) - 1942:
MARS (Allemagne) - 1096:
MOSBACH (Allemagne) - 1298:
MOSCISKA (Pologne) - 1942
MOSCOU - 1738 : 1891 : 1948 :1953
MOSTY Vielkie (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
MOTEL (R.S.S. de Biélorussie) - 1942:
MSZCZONOW (Pologne) - 1939:
MAHLHAUSEN (province de Thuringe, Allemagne) - 1349
MULRICHSTADT (Allemagne) - 1283:
MUNICH - 1285-1943:
MUNKACS (Mukacevo, R.S.S. d'Ukraine) - 1944: MÜNSTERMAIFELD (Allemagne) - 1287
MURAFA (Russie) - 1919:
MUSZYNA - 1943:
MYLANOV (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942

N

NADVORNA (district de Stanislavov, R.S.S. d'Ukraine,
anciennement Pologne) - 1941 : 1942:

NADYVARAD (Grosswardein, Hongrie) -1944 NAGYKANIZSA (Hongrie) - 1944:
NAGYSZÔLLOS (Hongrie) - 1944
NARAYOV (District de Tarnopol, R.S.S. d'Ukraine) - 1943
NAROL (Pologne) - 1648:
NASIELSK (province de Varsovie, Pologne) - 1939:
NARVA (R.S.S. d'Estonie) - 1944:
NATZWEILER (Alsace) - 1943:
NAVARRE, comté de (Espagne) - 1328: NECKARSULM (Allemagne) - 1298:
NEMIROV (Pologne) - 1648: 1942
NEUENGAMME (Allemagne) - 1945: NEUNKIRCHEN (Autriche) - 1496:
NEUSALZ (Silésie, Pologne) - 1945:.
NEUSS (Allemagne) - 1096: 1194:
NEUSTADT (Holstein, Allemagne) - 1298-1945
NEVEL (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 :
NEW YORK - 1928:
NIESVIEZ (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 : 1942
NIJNI-NOVGOROD (Russie) - 1884: NIKOLAYEV (Russie) - 1905:
NIS (Serbie centrale, Yougoslavie) - 1942 :
NORVÈGE, voir Oslo.
NOVAKY (Tchécoslovaquie) - 1944:
NOVAYA BASAN' (district de Tchernigov, Ukraine) - 1920
NOVE MIASTO (district de Plonsk, province de Varsovie, Pologne) - 1939: 1942 :
NOVGOROD-VOLYNSK (Ukraine) - 1919:
NOVI SAD (Neusatz, province de Voïvodine, Yougoslavie) - 1942
NOVINKI (district de Minsk, R.S.S. de Biélorussie) - 1941
NOVO-FASTOV (district de Kiev, Ukraine) - 1919. NOVOGRUDOK (district de Grodno, R.S.S. de Biélorussie, ) - 1941 :1942
NOVO-KONSTANTINOV (province de Podolie, Russie) -
1919
NOVO MIRGOROD (Ukraine) - 1919
NOVOMOSKOVSK (R.S.S. d'Ukraine) - 1883-1942
NOVO-PRILUKI (district de Kiev, Ukraine) - 1919 NOVOSYBKOV (Russie) - 1905
NOVY DVOR MAZOVIECHI (district de Varsovie, Polo
gne) - 1939-1942
NOVY KORCZYN (district de Kielce, Pologne) -1942 NOVY SACZ (province de Cracovie, Pologne) - 1942
NOVY TARG (Neumarkt, Pologne) - 1942
NUREMBERG (Allemagne) - 1298: 1349:1935-42-43
NYECHIN (Russie) - 1905:
NYIREGYHAZA (Hongrie) - 1944:
NYIRJES (Hongrie) - 1944

o

OBECSE (Yougoslavie) - 1942
OBERWESEL (Allemagne) - 1287: 1287 :
OCHSENFURT (Allemagne) - 1298:
ÔDENBURG (Sopron, Hongrie) - 1944:
ODESSA (Russie) - 1871 : 1905: 1941,1942
OHRDRUF (Allemagne) - 1945:
OLESKO (Galicie orientale R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942
OLGOPOL (province de Podolie, Russie) - 1919:
OLIKI (district de Volhynie, U.R.S.S.) - 1942: OLKIENIKI (Polésie, R.S.S. de Biélorussie) - 1941
OLKUSZ (province de Cracovie, Pologne) - 1942
OLMÜTZ (province de Moravie, Tchécoslovaquie) - 1939
OLVIOPOL (Russie) - 1905
OLYKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
OPATOV (province de Kielce, Pologne) - 1941- 1942
OPOCZNO (province de Kielce, Pologne) - 1942:1943
OPOLE (Pologne) - 1942:
OPOLE LUBELSKIE (province de Lublin, Pologne) - 1942
ORANIENBURG-SACHSENHAUSEN (Allemagne,
aujourd'hui R.D.A.) - 1945
ORCHA (Russie blanche) - 1905 :
OREL (Russie) - 1905
ORHEIU (Bessarabie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 : ORININ (province de Podolie, Ukraine) - 1919: ORLOVO (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie,
anciennement Pologne) - 1942 OSENCIN (district de Varsovie, Pologne) - 1942 OSHNYANY, voir Ozmiana. OSIJEK (Esseg, Hongrie) - 1941 : 1942:
OSLO - 1942:
OSSOVO (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942: OSTROG (province de Volhynie, Ukraine) - 1648: 1941 : 1942:
OSTRONEK (district de Lublin, Pologne) - 1942
OSTROV MAZOVIECKI (province de Varsovie, Pologne)
- 1939
OSTROWIEC (province de Kielce, Pologne) - 1904-1939 1942 : 1943 OSTROZEC (province de Volhynie,
Pologne) - 1941:
OSZMIANY, voir Ozmiana.
OTOCZNA (district de Wrzesnia, Pologne) - 1942
OTVOCK (district de Varsovie, Pologne) - 1942:
OTYNIA (district d'Ivano-Frankovsk, R.S.S.d'Ukraine) -1941
OVRUTCH (province de Volhynie, Ukraine)1918: 1919:
OZMIANA (Oszmiany, Oshnyany, R.S.S. de Biélorussie, anciennement Lituanie) - 1941 : 1942: 1943 :
OZORKOV (Pologne) - 1942:

P

PABIANICE (Pologne) - 1942:
PALMA DE MAJORQUE (Baléares, Espagne) - 1391
1679: 1691
PAPA (Hongrie) - 1944:
PARADYSZ (district de Kielce, Pologne) - 1942 PARAFIANOV (district de Kielce, Pologne) - 1942 PARCE VO
(district de Bialystok, Pologne) - 1942
PARCHEIN (province de Mecklembourg, Allemagne) - 1337
PARCZEW (district de Lublin, Pologne) - 1904: 1942:
PARIS - 1310: 1895: 1940: 1941 : 1942 1943
PARTCHEV, voir Parczew.
PARYSOV (district de Lublin, Pologne) - 1942:
PASKUDA (district de Lublin, Pologne) - 1942: PATRYKI (R.S.S. d'Ukraine) - 1941:
PAVDOCZ (Ukraine) - 1648:
PAYS-BAS - 1940: 1942 :1943
PECS (Hongrie) - 1944:
PERESIEKA (province de Grodno, R.S.S. de Biélorussie) 1943 :
PEREYESLAV (district de Podolie, Ukraine) - 1919: PÉROU - 1736:
PERSENBEUG (Autriche) - 1945:
PERTCHYUP (district de Trakaj, R.S.S. de Lettonie) - 1944
PESTCHANKA (district de Podolie, Ukraine) - 1919
PESTCHANNOYE (district de Krementchoug, R.S.S.
d'Ukraine) - 1941
PETCHORA (district de Podolie, Ukraine) - 1919 PETROVO SELO (Banat, Yougoslavie) - 1928:
PFORZHEIM (Allemagne) - 1244: 1267: PHOLEGRANDROS, île de (Grèce) - 1944:
PIASECZNA (Pologne) - 1941 :
PIASKI (province de Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) 1942
PIATEK (district de Leczyca, Pologne) - 1939: PIELANCZ (district de Kielce, Pologne) - 1942:
PILAVIEZ (Ukraine) - 1648:
PILICA (district de Kielce, Pologne) - 1943
PILSEN (Bohême) - 1504:
PINCZOV (province de Kielce, Pologne) - 1942
PINSK (Pologne, aujourd'hui R.S.S. de Biélorussie) - 1648-1919-1941-1942
PIOTRKOV (Pologne) - 1943:
PIOTRKOV Trybunalski (district de Lodz, Pologne) - 1939-1942-1943
PISE - 1944:
PISTYN (Pologne) - 1942:
PITHIVIERS - 1941 : 1942:
PLASZOW (Cracovie, Pologne) - 1945: 1942
PLOCK (province de Varsovie, Pologne) - 1939
1941 PLÔMNITZ (Allemagne) - 1945 v
PLONSK (Pologne) - 1939: 1942:
PLOTNICE (Polésie, Pologne) - 1942
PLUNGE (R.S.S. de Lituanie) - 1941
POCZASOV (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
PODHAITZY (Podhajce, district de Tarnopol, R.S.S.
d'Ukraine) - 1942-1943 : v
PODKAMIA (district de Tarnopol, R.S.S. d'Ukraine,) 1942
POGREBITCHE (district de Kiev, Ukraine) - 1919 POHOST (Volhynie, R.S:S. d'Ukraine)1942 POKRZYVNICA (Pologne) - 1942
POLANGEN (R.S.S. de Lituanie) - 1941
POLANKA (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) - 1942:
POLATZK (Russie) - 1905:
POLIGON (Pologne) - 1941
POLNA (Bohême, aujourd'hui Tchécoslovaquie) - 1899: POLOGNE - 1939:
POLONNOYE (Ukraine) - 1648
PONARY (R.S.S. de Lituanie, anciennement Pologne) - 1941 : 1944 :
PONIATOVA (Pologne) - 1943
POPRAD (Slovaquie, Tchécoslovaquie) - 1942
POREBA (district de Zawiercie, Pologne) - 1943 : PORTO (Portugal) - 1658: PORTUGAL - 1496: 1497: 1531
1536 PORYCK (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
POSTAWY (Pastov, R.S.S. de Lituanie) - 1942-1943
POUCHKINE (R.S.S. d'Ukraine) - 1941
POVOLUTCH (U.R.S.S.) - 1941
POZNAN (Posen, Pologne) - 1939:
PRAGUE - 1096: 1389: 1422
1939: 1941-1942-1945
PRAMPOL (district de Lublin, Pologne) - 1942 PRASZKA (district de Wielun, Pologne) - 1942 PRESSBURG,
voir Bratislava.
PRILUKI (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
PRIPET, marais du (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 :
PROSKUROV (province de Podolie, Ukraine) - 1919:
1942
PROYANOVSKA (R.S.S. de Lituanie) -1944 PRUCHNIK (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942 PRUSZKOW (Pologne) - 1941:
PRUZANA (district de Brest-Litovsk, R.S.S. de Biélorussie) 1941-1942-1943
PRZEDBORZ (province de Kielce, Pologne) - 1942
PRZEMYSL (province de Rzeszow, Pologne) - 1938; 1939: 1942: 1943
PRZEMYSLANY (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) 1941 : 1942 1943
PRZYSTAK (district de Lvov, Pologne) -1942 PRZYSUCHA (province de Kielce, Pologne) - 1942 PRZYTYK
(province de Radom, Pologne) - 1936: 1942: 1943
PSKOV (U.R.S.S.) - 1943
PULAWY (province de Lublin, Pologne) - 1939:
PULKAU (Autriche) - 1338:
PULTUSK (province de Varsovie, Pologne) - 1942
PUSTKOW (province de Kielce, Pologne) - 1942: PUSZTAVAM (Hongrie) - 1944:
PYATINO (R.S.S. de Biélorussie) - 1941
PYZDRY (district de Wrzesnia, Pologne) - 1942

R

RADAUTZ (Bukovine, R.S.S. d'Ukraine, anciennement Roumanie) - 1941 :
RADOCHKOWITZ (R.S.S. de Biélorussie, anciennement Pologne) - 1941 : 1942: 1943: RADOCZYN (district de Kielce, Pologne) - 1942:
RADOLFSZELL (Allemagne) - 1349:
RADOM (province de Kielce, Pologne) - 1941 : 1942 1943 -1944 :
RADOMSK (Radomsko, province de Lodz, Pologne) - 1942 1943 : RADOMYSL (district de Kiev, Ukraine) -
1919 1942:
RADOSZYCE (Pologne) - 1943:
RADUN (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie,) 1942:
RADZIECHOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942
RADZIEV KUSAWSKI (district de Varsovie, Pologne) - 1942 :
RADZIVILLOV (R.S.S. d'Ukraine)- 1941 :
1942: RADZYMIN (province de Varsovie, Pologne) - 1942:
RADZIN (province de Lublin, Pologne) - 1942:
RAFALOVKA (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
RAIGOROD (province de Podolie, Ukraine) - 1919: RAKOV (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) -
1942: 1943:
RANDEGG (Autriche) - 1945:
RASDELNAYA (Russie) - 1905:
RATNE (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1943:
RAVA MAZOVIECKA (district de Varsovie, Pologne) - 1942 :
RAVA RUSKA (province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine,)
1942: 1943
RAVENSBRÜCK (Allemagne, aujourd'hui R.D.A.) - 1945
RAVENSBURG (Allemagne, aujourd'hui R.F.A.) - 1349
RCHICHTCHEV (district de Kiev, Ukraine) - 1919:
RECHITZA (R.S.S. de Biélorussie) - 1941: REKSZOWICE (Pologne) - 1939:
REMBERTÔW (province de Varsovie, Pologne) - 1942:
RENCHEN (Allemagne) - 1301: v
RENNES - 1899:
RETHIMNON (Grèce) - 1944:
REUTLINGEN (Allemagne) - 1348
REVAL (Tallin, R.S.S. d'Estonie) - 1944: RHEINFELDEN (Suisse) - 1349:
RHENANIE (Allemagne) - 1940:
RHODES - 1944
RIGA (R.S.S. de Lettonie) - 1941 -1942-1943-1944
RINN (Autriche) - 1462:
RIO DE JANEIRO - 1625:
RISIERA DI SAN SABBA (Italie) - 1943: 1944-1945
ROCKENHAUSEN (Allemagne) - 1283:
RODZISLAV (district de Bialystok, Pologne) - 1941 : let. ROETTINGEN (Allemagne) - 1298
ROHATYN (province de Stanislavov, R.S.S. d'Ukraine) 1941-42-43
ROKITNO (Polésie, U.R.S.S.) - 1942:
ROMANOV (Volhynie, Ukraine) - 1919:
ROME - 1017-1020 : 1553: 1943-1944
ROMNY (Russie) - 1905
ROPCZYCE (Pologne) - 1942:
ROSITTEN (R.S.S. de Lettonie) - 1941 :
ROSLAVLY (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 :
ROSPSZA (district de Lodz, Pologne) - 1942: ROSSOSZYCA (district de Sieradz, Pologne) - 1940: il. ROSTOV (Russie) - 1883: 1905:
ROTHAMPTON (Angleterre) - 1279:
ROTHENBURG ober der Tauber (Allemagne) - 1298:
1349:
ROTTERDAM - 1942: 1943:
ROUMANIE - 1938: 1940:
ROVNO (Volhynie, Ukraine) - 1919: 1941 :1942
ROZANA (district de Brest-Litovsk, R.S.S. de Biélorussie) 1941-42
ROZANKA (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie)1942
ROZDOL (district de Stanislavov, Pologne) - 1942
ROZNOW (Pologne) - 1942:
ROZVADOV (Pologne) - 1939: 1942:
RUDKI (district de Varsovie, Pologne) - 1941 -1943
RUDNIK (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942: RUFACH (Alsace) - 1298: 1338 : RUSSIE, voir U.R.S.S.
RUTHENIE subcarpatique (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 -1944
RYEPKI (Russie) - 1905 :
RYETCHIZA (Russie) - 1905:
RYKI (Pologne) - 1942:
RYMANOV (Pologne) - 1942:
RYPIN (province de Bydgoszcz, Pologne) - 1939:
RZESZOW (Pologne) - 1942 : 1943

s

SABAD (Serbie centrale, Yougoslavie) - 1942: SACHSENHAUSEN (Allemagne) - 1938:
SADKI (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
SADOK (Pologne) - 1942:
SAFED (Palestine) - 1929:
SAHKHERE (Géorgie, Russie) - 1878:
SAINT-ANTOINE (France) - 1268:
SAINT-GALL (Suisse) - 1349:
SAJMISTE (Semlin, Zemun, Serbie, Yougoslavie) - 1941:42
SAKARESTIE (Bukovine, R.S.S. d'Ukraine) - 1940:
SALASPILS (près de Riga, R.S.S. de Lettonie) - 1943:
SALONIQUE, voir Thessalonique.
SALZBOURG (Autriche) - 1404:
SAMBOR (province de Lvov, R.S.S. d'Ukraine)
- 1941 -1942: 1943:
SAMGORODOK (district de Kiev, Ukraine) - 1919: SAMOTHRACE, île de (Grèce) - 1943: SANDOMIERZ
(province de Kielce, Pologne) - 1942:
1943: 1944:
SANNIKI (Pologne) - 1942:
SANOK (Pologne) - 1942:
SANTARÉM (Portugal) - 1531 :
SARAJEVO (Bosnie-Herzégovine, Yougoslavie) - 1941 1942
SARATOV (R.S.F.S.R.) - 1905:
SARMAS (Roumanie) - 1943:
SARNIKI (district de Lublin, Pologne) - 1942: SARNOVA (district de Rawicz, Pologne) - 1942: SARNY
(Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 : 42 SARVAR (Hongrie) - 1944:
SASNOWIEC (province de Katowice, Pologne) - 1939
SASOV (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) 1942: 1943
SATORALJAUJHELY (Ujhely, Hongrie) - 1944: SAULGAU (Allemagne) - 1349:
SAVOIE - 1348:
SAVTCHONKI (R.S.S. de Biélorussie) - 1943: SCHAFFHOUSE (Suisse) - 1349:
SCHEIBBS (Autriche) - 1945:
SCHKEDE (R.S.S. de Lettonie) - 1941 : SCHNEIDERMÜHL (Allemagne) - 1940:
SCHODNICA (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) 1942 :
SECINY (district de Varsovie, Pologne) - 1942 : bre. SECURENI (Bessarabie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
SEGOVIE (Espagne) - 1474
SEMLIN, voir Sajmiste.
SEMYONOVKA (Russie) - 1905:
SENDZISZOV (province de Cracovie, Pologne) - 1942:
SERBIE - 1942:
SERED (Slovaquie, Tchécoslovaquie) - 1942 -1944-45
SERNIKI (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942. SEROKOMEA (Pologne) - 1942:
SEVERYNOVO (Waski Las, Pologne) - 1940:
SEVILLE - 1391 : 1481 :
SHAMOVO (R.S.S. d'Ukraine) - 1942: SHARGOROD (Bessarabie) - 1919:
SIAULIAI (Schaulen, R.S.S. de Lituanie) - 1943 :44
SICILE - 1492: 1493: 1511 : 1541
SIEDLCE (Pologne) - 1905: 1939: 1941-42-43
SIEDLISZCZE (Pologne) - 1942:
SIEMIATYCZE (province de Bialystok, Pologne) - 1941 1942:
SIENNA (district de Kielce, Pologne) - 1942 SIENNICA (Pologne) - 1942:
SIERADZ (Pologne) - 1939: 1942:
SIERPC (province de Varsovie, Pologne) - 1939-42
SIMFEROPOL (presqu'île de Crimée) - 1905
1941
SINDELFINGEN (Allemagne) - 1298: SINELYNIKOV (U.R.S.S.) - 1942:
SINOLIN (Pologne) - 1942:
SINZIG (Allemagne) - 1264: 1265
SKALA PODLASKA (Galicie, R.S.S. d'Ukraine) 1942-43
SKALAT (district de Tarnopol, R.S.S. d'Ukraine,) 1941 : 1942: 1943 :
SKARZYSKO-KAMIENNA (province de Kielce, Pologne) 1942: 1945:
SKAWINA (Pologne) - 1942: SKIDEL (district de Bialystok, Pologne) - 1942 :
SKIERNIEVICE (province de Lodz, Pologne) - 1939: 1940: 1941 :
SKOLE (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942: SKOPJE (Macédoine, Yougoslavie) - 1941; 1943 SKVIRA
(district de Kiev, Ukraine) -1919 SLAVYANSKUT (près de Donesk, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 SLOBODKA
(R.S.S. de Lituanie) - 1941 : SLONIM (province de Grodno, R.S.S. de Biélorussie) 1941 1942:
SLOVAQUIE (Tchécoslovaquie) - 1938: 1939 -1941: 1942: 1944: SLUPCA (Pologne) - 1941 : SLUTSK
(R.S.S. de Lituanie) - 1942: SLUZEVO (district de Varsovie, Pologne) - 1942: SMELA (Ukraine) - 1919:
SMOLENSK (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 : 1942
SMOLEWICZE (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 :
SMORGONIE (Pologne) - 1943 :
SNOW (district de Novogrudok, U.R.S.S.) - 1942: SNYATYN (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) -
1941 : 1942 :
SOBIBOR (Pologne) - 1942: 1943:
SOBIENIE JEZIORY (Pologne) - 1942:
SOBKOV (district de Kielce, Pologne) - 1942: SOCHACZEV (province de Varsovie, Pologne) - 1556: 1940:
1941 :
SOKAL (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 : 1942:
1943 :
SOKOLKA (province de Bialystok, Pologne) - 1942 1943 :
SOKOLOV PODLASKI (province de Varsovie, Pologne) - 1939:; 1942:
SOLEC (Pologne) - 1939:
SOLOBKOVTZY (Podolie, Ukraine) - 1919: SOLOTONOCHA (Russie) - 1905: SOLY (R.S.S. de Lituanie,
anciennement Pologne) - 1943: SOMBOR (Yougoslavie) - 1944:
SOPOCKINIE (district de Bialystok, Pologne) - 1942: SOPRON, voir Ôdenburg.
SOSNOVIEC (province de Katowice, Pologne) - 1939: ; 1942: 1943: 1944 SOSNOVITZ-BENDZIN (Pologne) -
1943:
SPIRE (Allemagne) - 1096: 1349:
SREDNYAYA POGULYANKA (R.S.S. de Lettonie) - 1941
STACZOV (province de Kielce, Pologne) - 1942:
STANFORD (Angleterre) - 1190
STANISLAVOV (Ivanov-Frankovsk, Stanislau (R.S.S. d'Ukraine,) - 1941 : 1942-1943
STARA WIES (district de Limanova, Pologne) - 1939:
STARAYA SINYAVA (province de Podolie, Ukraine) - 1919:
STARI BECEJ (Yougoslavie) - 1942:
STARODUB (Ukraine) - 1648: 1891 :
1905 : 1941 :
STARY SACZ (province de Cracovie, Pologne) - 1942
STAVY SAMBOR (Pologne) - 1942: STIDMUND (Angleterre) - 1190:
STEIN (Autriche) - 1349:
STENIATYN (Pologne) - 1942: STEPANTZY (Ukraine) - 1919:
STERDYN (Pologne) - 1942:
STETTIN (Allemagne) - 1940:
STOLIN (district de Pinsk, R.S.S. de Biélorussie,) - 1941 : 1942:
STOLPCE (province de Minsk, R.S.S. de Biélorussie) - 1942
STOPNICA (Pologne) - 1942:
STOROZYNETS (Bukovine, R.S.S. d'Ukraine) 1941 :
STRACHENY (Russie) - 1905:
STRALSUND (Allemagne, aujourd'hui R.D.A.) - 1940:
STRAND (Voïvodine, Yougoslavie) -1942 STRASBOURG - 1349:
STRAZDU MUJJA (R.S.S. de Lettonie) - 1944
STRICHEVKA (Podolie, Russie) - 1919:
STRYJ (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1941- 1942-43
STRZEGOWO (district de Mlawa, Pologne) - 1942
STRZEMIESZYCE (district de Kielce, Pologne) - 1943:
STRZYGOV (district de Varsovie, Pologne) - 1942:
STUHLWEISSENBURG, voir Szekesfehervar. STUTTHOF (camp, Pologne) - 1939-1944-45
STYRIE, province de (Autriche) - 1496
SUBOTICA (province de Voïvodine, Yougoslavie) - 1941
SUCHEDNIOV (district de Kielce, Pologne) - 1942:
SUCHOVOLA (Pologne) - 1942:
SUCZAWA (Bukovine, Roumanie) - 1941
SUISSE - 1349: 1942:
SÜMEG (Hongrie) - 1944:
SURACH (Russie) - 1905

SURESNES (France) - 1941 :
SUVALKI (province de Bialystok, Pologne) - 1939
SVIECIANY (district de Vilna, R.S.S. de Lituanie) - 1941-42-43 SWIECIE (Pologne) - 1939
SWIERCNA (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorus sie) - 1941 :
SWIERZAN NOVY (district de Novogrudok, Pologne) - 1941 :
SWINIUCHY (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
SYROKOMIA (district de Lublin, Pologne) - 1942
SZADEK (district de Lodz, Pologne) - 1942: SZARKOSZCYZNA (Szarkovczyzna, R.S.S. de Biélorussie), 1941 : 1942:
SZCZABRE - 1943:
SZCZAKOWA (district de Chrzanow, Pologne) - 1942:
SZCZEBRZESZYN (district de Lublin, Pologne) - 1940 1942:
SZCZEKOCINY (district de Kielce, Pologne) - 1942:
SZCZERZEC (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine, ancien nement Pologne) - 1942:
SZCZUCZYN (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie 1942
SZEBNIE (Pologne) - 1943 :
SZEBRZESZYN (province de Lublin, Pologne) - 1942:
SZEKESFEHERVAR (Stuhlweissenburg, Hongrie) - 1944
SZILL (Hongrie) - 1944:
SZOMBATHELY (Hongrie) - 1944:
SZREMSK (district de Varsovie, Pologne) - 1942:
SZUMSK (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942 SZYDLOWIEC (Pologne) - 1942: 1943 :

T

TALLIN (Estonie) - 1941 : 1944
TALNO (Ukraine) - 1919:
TARGOVICA (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 :
TARGU-JIU (Roumanie) - 1941 :
TARNOBRZEG (province de Rzeszow, Pologne) - 1939
1942
TARNOGROD (Pologne) - 1942:
TARNOPOL (Galicie orientale, Pologne, aujourd'hui R.S.S.d'Ukraine) - 1938: 1941 1942: 1943
TARNOV (district de Cracovie, Galicie, Pologne) -1942-43 TARRAGONE (Catalogne, Espagne) - 1348:
TARTAKOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942: TAUBERBISCHOFSHEIM (Allemagne) - 1298: 1337
TCHÉCOSLOVAQUIE - 1941:
TCHERNIGOV (province de Volhynie, Ukraine) - 1648 1905 : 1919
TCHIGIRIM (Russie) - 1905: TCHUDNOVO (Ukraine) - 1905:
TEL-AVIV - 1921
TEPLIK (Podolie, Russie) - 1919:
TETIEV (district de Kiev, Ukraine) - 1919: THÉODOSSIA (presqu'île de Crimée, Russie) - 1905:
THERESIENSTADT (Terezin, Tchécoslovaquie) - 1941
1942:1943-44-45
THESSALONIQUE (Grèce) - 1917: 1941-42-43
THRACE (Grèce) - 1943:
THURGOVIE (Suisse) - 1349: THURINGE (Allemagne) - 1942:
TLUMACZ (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
TLUSTE (Tolstoye, province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine)1942-43
TOLÈDE - 1391 : 1467: 1486 :1488 :1491 :1501
TOLNA (Hongrie) - 1944: TOLSTOYE, voir Tluste.
TOMAR (Portugal) - 1543 : 1544:
TOMASZOV LUBELSKI (province de Lublin, Pologne) -
1648-1939: 1940: 1942
TOMASZOV RAWSKI (district de Lodz, Pologne) - 1941-1942
. TOMSK (Russie) - 1905:
TORYSK (district de Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
TOULOUSE - 1944:
TRABY (Pologne) - 1942:
TRANSYLVANIE (Roumanie) - 1944:
TRAWNIKI (district de Lublin, Pologne) - 1942: TREBLINKA (Pologne) - 1942: 1943: TREMBOVLA (province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine) - 1943 :
TRENTE (Italie) - 1475:
TRÈVES - 1096:
TRIESTE : camp de Risiera di San Sabba - 1943 :
1944: 1945
TRIPOLI (Libye) - 1945:

TROSTYANETS (province de Podolie, Ukraine) - 1919:
TROYES - 1288:
TRYSOLIE (district de Kiev, Ukraine) - 1919: TRZEBINIA (district de Cracovie, Pologne) - 1939: 1942 :
TUCHOW (district de Tarnow, Pologne) - 1939:
TUCZYN (district de Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 1942: 1943
TULCZYN (Ukraine) - 1648 : 1919:
TUNIS - 1942 :
TUREK (district de Lodz, Pologne) - 1941 :
TUREZ (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) -1941 :
TURKA (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine)
- 1941 : 1942:
TURNU-SEVERIN (Roumanie) - 1941:
TUROBIN (Pologne) - 1942:
TYKOCIN (Tiktin, province de Bialystok, Pologne) - 1941
TYSZOVCE (province de Lublin,Pologne1942
TYSZVIEC (district de Lublin, Pologne) - 1942:
TZIBULEV (district de Kiev, Ukraine) - 1919: 1920:

U

UBERLINGEN (Allemagne) - 1332:
UCHANIE (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942:
UCHOMIR (Podolie, Ukraine) - 1919:
UJAZD (Pologne) - 1943:
UJGOROD, voir Ungvar.
UJHELY, voir Satoraljaujhely.
UJVIDEK (Yougoslavie) - 1944:
ULANOV (district de Lvov, R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
ULM - 1349:
UMAN (district de Kiev, Ukraine) - 1734: 1919:
UNGARISCH-BROD (Bohême) - 1683:
UNGVAR (Ujgorod, R.S.S. d'Ukraine) - 1944:
UNTER-STANESTIÉ (Roumanie) - 1941:
URMINI (province de Podolie, Ukraine) - 1919: USCILUG (province de Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942
UTENA (R.S.S. de Lituanie) - 1941 :
UTRECHT - 1941: 1942: 1943:

V

VAKHNOVKA, voir Wachnova.
VALENCE (Espagne) - 1391 :
VALLADOLID (Espagne) - 1639: 1644:
VALRÉAS (Dauphiné, France) - 1247:
VAROSMAJOR (Hongrie) - 1945
VARSOVIE - 1649: 1881 : 1939:1940 1941 :
1942: 1943 :1944
VASILISHAK (district de Vilna, R.S.S. de Lituanie) - 1942
VASSILIVTCHIN (district de Kiev, Ukraine) - 1919
VASSILKOVO (district de Kiev, Ukraine) - 1919: 1920:
VATICAN - 1942:
VENISE - 1480: 1944:
VERKHOVA-BIBIKOVO (Podolie, Ukraine) - 1919
VERKIEVKA (Russie) - 1905:
VÉRONE - 1943: 1944:
VIAZMA (U.R.S.S.) - 1942
VICHY - 1942:
VIENNE (Autriche) - 1421 : 1670: VILIAMPOB (R.S.S. de Lituanie) - 1941 :
VILKAVISKIS (R.S.S. de Lituanie) - 1941 :
VILNA (Vilnious, anciennement Pologne, aujourd'hui R.S.S. de Lituanie) - 1655: 1919: 1920:
1938: 1939: 1941 : 1942 : 1943 :
VINNITZA (Ukraine) - 1905: 1919:; 1941 :
VINOGRAD (Ukraine) - 1920:
VIRBALIS (Wirballen, R.S.S. de Lituanie) - 1941
VISLA VIELKA (district de Pszcyna, Pologne) - 1939:
VITEBSK (R.S.S. de Biélorussie) - 1941 :
VLADIMIR-VOLYNSKI (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Wlodzimierz, Pologne) - 1941 : 1942: 1943:
VLASENICA (Yougoslavie) - 1941 :
VOIVODINE (Yougoslavie) - 1942:
VOLKOVINTZY (R.S.S. d'Ukraine) - 1919
VOLODARKA (district de Kiev, Ukraine) - 1919:
VOLTCHKII (district de Kiev, Ukraine) - 1920:
VOLYN (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
VORONEJ (Russie) - 1905:
VORONOVO (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) 1942
VYSOKO (Polésie, R.S.S. de Biélorussie) - 1942

W

WACHENHEIM (Allemagne) - 1343:
WACHNOVA (district de Kiev, Ukraine) - 1919:
WADOVICE (Pologne) - 1943:
WALEGOZULOVO (Russie) - 1881:
WARKA (Pologne) - 1941 :
WARKOVICZE (Pologne) - 1942:
WARNDORF (Allemagne) - 1941:
WARTA (Pologne) - 1942:
WARTHEGAU (district de la Wartha, Allemagne) - 1939
WASSILKOVO (district de Kiev, Ukraine) - 1920
WEGROW (province de Varsovie, Pologne) - 1939: 1942: 1943
WEISSENBURG (Allemagne) - 1270
WERBA (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1941
WERLINGHOFEN (Allemagne) - 1096:
WESTERBORK (province de Drenthe, Pays-Bas) - 1942: 1943 : 1944 :
WETZLAR (Allemagne) - 1349:
WIDDERN (Allemagne) - 1298
WIELICZKA (Pologne) - 1942:
WIELOPOLE (district de Cracovie, Pologne) - 1942 WIELUN (Pologne) - 1942:
WIENER NEUSTADT (Autriche) - 1230: 1496
WIERUSZOW (Pologne) - 1942
WILEJKA (district de Vilna, R.S.S. de Lituanie) - 1941
WILOCZAN (district de Vilna, R.S.S. de Lituanie) - 1941
WINDSHEIM (Allemagne) - 1298:
WINTERTHUR (Suisse) - 1349:
WISLICA (Pologne) - 1942:
WISNIEWICZE (district de Volhynie, U.R.S.S.) - 1942:
WISZNICE (Pologne) - 1942:
WISZNIEVO (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) 1942
WITKOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
WIZNITZ (Bukovine, Roumanie) - 1942:
WLOCLAWEK (Pologne) - 1939:40 :42
WLODAVA (Pologne) - 1942: 1943:
WLODZIMIERZ, voir Vladimir-Volynskiy. WLOSZCZOWA (Pologne) - 1942:
WOLBROM (Pologne) - 1939: 1942:
WOLFSBERG (Autriche) - 1338:
WOLKOWYSK (province de Grodno, U.R.S.S.) - 1941: 1942 : 1943 :
WOLOMIN (Pologne) - 1942:
WOLOZYN (Woloskin, U.R.S.S.) - 1942
WOLSZTYN (Pologne) - 1943
WORMS (Allemagne) - 1096: 1349:
WORONOVITZY (Ukraine) - 1919:
WROCLAW, voir Breslau.
WÜRZBURG (Allemagne, aujourd'hui R.F.A.) - 1147:
1298: 1349-1818 :
1942: 1943 :
WYDREJA (R.S.S. de Biélorussie) - 1944:
WYSOKIE (Pologne) - 1942:
WYSZGOROD (Pologne) - 1942:
WYSZKOV (Pologne) - 1939:

X-Y

XANTEN (Allemagne) - 1096: 1891 :
XANTHI (Macédoine, Grèce) - 1943:
YALTA, port de (presqu'île de Crimée, R.S.S. d'Ukraine) - 1941 :
YORK (Angleterre) - 1190 :
YOUGOSLAVIE - 1941:

Z

ZAANDAM (Pays-Bas) - 1941 : 1942:
ZABIE (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1942
ZABLOTOV (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 -1942
ZABLUDOV (Pologne) - 1942:
ZABUZE (R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
ZAGARE (Zager, R.S.S. de Lituanie) - 1941 :
ZAGREB (Agram, Croatie, Yougoslavie) - 1941 :1943
ZAKLIKOV (Pologne) - 1942:
ZAKSZUWEK (Pologne) - 1942:
ZALESZCZYKI (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1941 : 1942:
- ZAMBROW (Pologne) - 1943:
ZAMEKHOV (Podolie, Ukraine) - 1919:
ZAMOSC (Pologne) - 1648: 1942:
ZANZUR (Libye) - 1945:
ZAOLZIE (Pologne) - 1940:
ZARASAI (R.S.S. de Lituanie) - 1941 :
ZAREMBY KASZTELANSKIE (district de Bialystok, Pologne) - 1941 :
ZARKI (province de Kielce, Pologne) - 1942: 1943 : ZAVICHOST (province de Kielce, Pologne) - 1943:
ZAVIERCIE (province de Katowice, Pologne) - 1939: 1940: 1942: 1943:
ZBARAZH (R.S.S. d'Ukraine, anciennement Pologne) - 1941 : 1942: 43
ZBOROV (R.S.S. d'Ukraine) - 1941 :
ZDOLBUNOV (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine) - 1942:
ZDUNSKA VOLA (district de Lodz, Pologne) - 1939:
1942: ZDZIECIOL (U.R.S.S.) - 1942:
ZELECHOV (province de Varsovie, Pologne) - 1942
ZELOV (district de Lodz, Pologne) - 1942: ZEMUN, voir Sajmiste. ZGIERZ (Pologne) - 1939:
ZGURITA (R.S.S. de Moldavie) - 1941 : ZLATOPOL (Ukraine) - 1919:
ZLOCZEV (district de Wloszczowa, Pologne) - 1939:
ZLOCZOV (Zolochev, province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine) 1941-42-43
ZMERINKA (Ukraine) - 1919:
ZOLKIEV (province de Galicie, R.S.S. d'Ukraine, ancien nement Pologne) - 1941 : 1942:43
ZOLKIEVKA (Pologne) - 1942:
ZOLUDEK (district de Novogrudok, R.S.S. de Biélorussie) - 1942:
ZURAWNO (Pologne) - 1942:
ZURICH - 1348: 1349: 1436:
ZVOLEN (district de Kielce, Pologne) - 1942 :
ZWOLLE (Pays-Bas) - 1944:
ZYCHLIN (province de Lodz, Pologne) - 1939:
1940: 1942
1943 :
ZYDACZOW (Jidachov, district de Stanislavov, Pologne) - 1942:
ZYRARDOV (province de Varsovie, Pologne) - 1939: 1941 :

Ah oui, Dieu-donné est grand et Williamson est son prophète…

PS : la prochaine fois, je vous conterais les frasques d’une autre ordure : l’imam Al-Qaradhaoui, idéologue des Frères musulmans. Autre religion, mêmes mœurs…