jeudi 8 mars 2007

LA GUERRE , FILLE DES TOTALITARISMES

10 mars :
Conférence "1939-1945: la guerre, fille des totalitarismes"


08/03/07

Centre de Culture Européenne


Madame, Monsieur, Chers Amis,

Nous avons le plaisir de vous annoncer la huitième séquence du 8ème cycle de :
L’Europe, un espace à découvrir



1939-1945 :

la guerre, fille des totalitarismes

par

A. COLIGNON

1er assistant au Centre d’études « Guerres et sociétés contemporaines »

CEGES, Bruxelles

au
Parlement Européen

135, rue Bélliard – 1040 Bruxelles

le samedi 10 mars 2007 de 11h à 13h

(PAF: 12 Euros sauf abonnement)



La guerre-éclair

Engluée dans une série de crises économiques et de tensions identitaires sur le plan des collectivités nationales, l’Europe des années trente s’est divisée en blocs antagonistes.

Les puissances libérales-démocratiques finissent (avec beaucoup de réticences) par se résigner à la guerre contre l’Allemagne nationale-socialiste, fasciste, raciste et expansionniste.

L’Union soviétique de Staline reste provisoirement en-dehors de la mêlée.

De 1939 à 1941, l’Allemagne nazie, qui a une longueur d’avance dans la voie du surarmement, remporte des succès étonnants qui lui donnent la maîtrise du continent.

La France est éliminée (mai - juin 1940), seules les îles britanniques résistent encore.



La guerre mondiale

En juin 1941, pour achever la réalisation de son « nouvel ordre européen », l’Allemagne se rue à l’assaut de l’Union soviétique. La résistance du colosse de l’Est s’avère plus coriace que prévu, et la guerre, d’Européenne devient mondiale en décembre 1941 lorsque les Etats-Unis entrent dans le conflit.







La chute du troisième Reich

À partir de ce moment, le Reich des nazis, confronté, avec ses faibles alliés, à une coalition mondiale, ne peut que perdre le conflit qu’il a déchaîné par sa mégalomanie. Il résistera encore trois ans, multipliant les prisons et les camps de concentration, accumulant les ruines et les morts, attirant au cœur du continent le « péril rouge » qu’il prétendait combattre.



Bilan

La Première Guerre mondiale avait coûté à l’Europe 9 millions de morts ; la Seconde lui en coûtera 50.000.000. Et le monde ne fut plus jamais le même après Auschwitz et Hiroshima.





A. COLIGNON




Mis en ligne le 08 mars 2007, par M. Macina, sur le site upjf.org

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